1 ère publication le 14/01/17- Mise à jour le 10/07/17
Plutona par Jeff Lemire et Emi Lenox
Par BRUCE LIT
VO : Image
VF : Futuropolis
Plutona est une mini série complète en 5 épisodes scénarisée par Jeff Lemire et dessinée par Emi Lenox. Futuropolis a publié ça en juin 2017.
Votre serviteur fera l’effort de vous causer de cette BD sans déterrer de spoiler !
Bon, alors il montre quand ce dont il est capable le père Lemire ? Depuis que j’entends parler de lui comme The next big thing en matière de scénariste, force de constater que le Jeff est entré dans la ligne Lemire de Bruce Lit. Ou mon Bullshit detector, c’est selon.
Son fameux Sweet Tooth ? Sympathique mais très surestimé !
Son Descender ? une version agréable mais un peu lénifiante du AI de Spielberg.
Son Bloodshot Reborn ? Mis à part les accros à l’univers Valiant, qui ce titre peut intéresser ?
Ses Xmen ? gentiment écrits pour ne pas être totalement ennuyeux mais totalement dispensables !
Son Old Man Logan ? De très bons moments qui ne doivent pas nous faire oublier que n’importe quel scénariste digne de ce nom n’a pas à se vanter de pouvoir faire mieux que Bendis & Millar.
Bien tiède tout ça, mais comme disait le Grand Jacques, non Jeff t’es pas tout seul, et Plutona avait tout le potentiel de mesurer le potentiel de Lemire sur ses créations.
Ce qui surprend une fois l’objet en main, c’est le torrent de louanges sur cette oeuvre !
C’est plus de l’amour, c’est de la rage : La version super héroïque de Stand by me qui vous fera verser des torrents de larmes selon Paste Magazine. Une bouffée d’air pur selon The Nerdist. Le meilleur livre de l’année qui transcende le genre selon Scott Snyder. Et un incroyable conte fondé sur la profondeur de ses personnages pour Skottie Young !
Wow ! Snyder étant infoutu de raconter son histoire américaine dans son inoffensif American Vampire -et Skottie Young, eh…, Skottie Young, quoi…si ce type écrivait mieux qu’il ne dessine, ça se saurait non?- on a le droit de ne pas être impressionné par le CV de ces auteurs Hype dont on attend toujours la grande oeuvre… Bullshit Detector ON, donc…
On ouvre le bouquin avec indulgence quand même. Parce que Lemire n’est pas responsable des âneries de ses copains. Et qu’aux Etats Unis, le moindre Comics en rayon est bardé de laudatifs d’auteurs plus prestigieux les uns que les autres. Le summum ayant été atteint il y a quelques années pour le Originals de Dave Gibbons, un truc que tout le monde a oublié depuis, adoubé par Alan Moore, Frank Miller et Garth Ennis. C’est quand même mieux que Dee Snyder et le Young Cookie…
Le pitch : 5 lycéens trouvent le cadavre de Plutona, la super héroïne défenseuse de Metro City. Se distinguent notamment Teddy, un jeune geek inhibé qui traque les super héros en espérant en acquérir les pouvoirs, Mie, une jeune fille insolente et Ray, le dur de la bande abandonné par sa mère et tabassé par son père alcoolo.
Face au cadavre d’une super héroïne, que faire ? Tenter de voler ses supers pouvoirs ? Faire un selfie devant la dépouille pour devenir célèbre ? L’enterrer clandestinement pour ne pas attirer des hordes de supers vilains sur la ville. Toutes ces questions, nos amis se les posent et une option sera retenue parmi les autres entraînant une accélération dramatique du récit assez surprenante. Pour le coup, le lecteur en a pour ses frais et la preuve en est que Snyder et ses potes disent vraiment n’importe quoi et n’ont aucune culture cinématographique. Car au fil du récit, ce n’est pas à Stand by me référence tellement évidente qu’elle en devient paresseuse (oui, on le sait, Snyder est le grand pote de Stephen King) que Plutona fait penser mais The trouble with Harry d’Hitchcock ou Petits Meurtres entre amis version teenage. La forêt. Un butin. Des dissensions. Un drame.
Reconnaissons le : Lemire sait planter son décor. Son introduction des personnages est particulièrement réussie et sensible. Il y a beaucoup de tact et de délicatesse dans son écriture qui sait composer avec les silences et des dialogues aussi réussis que concis. Lemire sait écrire l’enfance. Parvient à mettre en scène des gamins qui se servent de textos et de facebook sans en faire des vertébrés décérébrés. Et sait doser la respiration de son récit. A mille lieux de l’écriture passablement hystérique de Skottie Young justement ou du zapping brouillon et prétentieux de Kelly Sue Deconnick qu’on laissera dans l’indifférence de sa Bitch Planet.
Chaque chapitre a sa tonalité, son histoire dans l’histoire joliment dessinée par Emi Lenox qui mixe le volet cartoon délicat (à des années lumières de Skottie Young, justement) avec une touche du Gilbert Hernandez de La Saison des billes. Alors qu’au cinéma ou en bande dessinée pullule la dictature de la culture jeune, Lenox parvient à rendre intéressants et mémorables ces énièmes jeunes adultes vus mille fois ailleurs. Les dessins expressifs de Lenox tout en ligne claire sont immédiatement accrocheurs pour peu que l’on y souscrive, et restent en parfaite adéquation avec l’écriture de Lemire : à savoir un niveau d’information suffisant sans aucune saturation de détails visuels inutiles.
En 5 épisodes, Lemire esquisse un semblant d’interaction entre les personnages : le début d’une attirance sexuelle, la fin d’une amitié et un début de rien du tout. Entre chaque chapitre, il nous refait le coup du comics dans le comics en nous racontant les dernières heures de Plutona et les causes de son décès. Lemire joue à fond la carte du Kitsch avec une super héroïne tiraillée entre ses pouvoirs et les responsabilités de sa vie civile, une vilaine tellement vilaine qu’elle en est ridicule et les bulles de pensée qui font redondance à ce qui est montré. C’est volontaire mais assez ballot finalement.
Pourtant, au fil de la lecture et malgré une fin surprenante, tous les tics d’écriture de Lemire répondent à l’appel. 5 épisodes c’est à la fois très peu pour creuser la personnalité des personnages et suffisamment assez pour raconter une histoire. Personne n’a obligé Lemire à constituer un casting de 5 personnages après tout. Or deux d’entre eux ne servent pratiquement à rien (la petite blonde enrobée et le petit frère de Mie), ou tout du moins ne sont là que pour permettre la conclusion du récit.
Du coup son écriture est aussi attachante que convenue. Tout en cliché : le dur au coeur tendre, la rebelle à la recherche du grand frisson, le geek que l’isolement a rendu dingue. Quant à sa description du super héros, on peut difficilement faire plus caricatural. Et c’est là toute la limite du propos de Lemire : il aurait voulu se foutre du genre qu’il est supposé magnifié qu’il n’aurait pas fait autrement. Sa super Héroïne a plus de présence morte que vivante tant elle a la personnalité d’un interrupteur et fait d’avantage office d’un super gadget qu’autre chose.
A aucun moment, le genre super héroïque n’est transcendé, bien au contraire. Il faut au contraire beaucoup d’imagination pour imaginer que Metro City a un pied dans le merveilleux, dans le Marvel…N’est pas Kurt Busiek qui veut. Allons plus loin : nos 5 amis auraient trouvé la carcasse d’un homard radioactif, une morve de Migou ou une pieuvre des bois que l’histoire n’aurait pas été (très) différente. Aussi attachante soit la prose de Lemire, le constat est là : il fait preuve d’une certaine paresse scénaristique pour aller jusqu’au bout de son histoire où ses personnages et leurs drames intimes ne sont que survolés. Si son écriture surpasse indéniablement ses collègues sur la forme, le fond est encore tiède et peu novateur.
C’est bien dommage. Car si Plutona bénéficie de qualités indéniable notamment un dessin efficace et les jolies couleurs de Jordie Bellaire rappelons les crayons de couleurs de l’enfance, on pouvait s’attendre à plus ambitieux de la part d’un auteur finalement plus habile à dialoguer son histoire qu’à la mener à terme. Parente du travail des frères Luna, cette Plutona n’en a jamais l’audace ou l’énergie. Un conte bien inoffensif que l’on aurait aimé plus développé et moins Plutonique….
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La BO du jour : Bon, on fait quoi du corps ? Une question que se posaient déjà Warren Beatty et Shirley Mc Laine dans The Trouble with Harry du gros Alfred avec cette partition champêtre magnifique signée Bernard Hermann.
Hello amigo, meilleurs vœux ; et pour répondre à ta question, Lemire a montré qu’il pouvait être bon – d’après mes goûts – dans au moins deux séries :
• « Superboy » : http://artemusdada.blogspot.fr/2011/10/superboy-jeff-lemire.html
• « Frankenstein Agent of Shade ». Son parcours y est excellent, peut-être son travail que j’aime le plus (avec le Superboy) : http://artemusdada.blogspot.fr/2013/11/frankenstein-agent-of-shade.html
Et son « Black Hammer », chez Dark Horse, démarre très très bien. Un mélange de super-héros « bizarres » à la campagne (ou presque). Et Lemire n’est jamais aussi bon qu’à la campagne.
Même si sur ce dernier titre on sent déjà, un peu, une approche dilatoire ; qui par ailleurs tend à devenir un tic d’écriture assez répandu.
Mais ses personnage et l’environnement (si je puis dire), sont assez mystérieux pour retenir l’attention en attendant de vraiment pouvoir captiver. [6,5/10, à encourager]
Sinon merci pour cette avis sur une histoire dont je n’avais pas entendue parler (même si ce que tu en dis n’est pas de nature à en encourager la lecture), hasta la vista !
[-_ô]
Salut Artermus Sharif (le tiercé, c’est mon dada).
Oh là là les scans de Frankenstein avec ses monstres roses et baveux ne sont pas là pour me ravir….On dirait du Remender. Tornado va jubiler (si c’est sorti en Molière)…
Au long de ces 4 jours special Lemire, je n’ai pas dit que Lemire était mauvais. Juste correct. Moyen. Irrégulier. Mais pas mauvais, ça non. Et ta notation de 6.5/10 n’est pas là pour me contredire :).
C’est marrant, moi je n’avais jamais entendu parler de Lemire. Du coup les histoires de réputation, ça me passe au dessus.
Les œuvres critiquées ces derniers jours me laissent de marbre je dois dire…
Ce qui ne change rien à la qualité des articles.
Malheureusement, encore une fois je serai encore plus dur que cette critique avec laquelle je suis entièrement d’accord et ce alors…que je n’ai même pas réussi à aller au bout de cette mini qui ne compte pourtant que 5 épisodes. Au bout de deux j’ai calté tellement je m’ennuyais…il y a donc un drame au bout, content de l’apprendre cela veut donc dire qu’il se passe quelque chose à un moment, tant mieux…
Quant aux personnages…et bien, disons que cela en dit beaucoup quand le seul réellement intéressant est mort dès le premier épisode…
Bref, pas pour moi encore une fois, et des critiques, louanges à mon sens pas vraiment méritées pour une oeuvre mineure sans grand intérêt ou originalité.
Comme Bruce, je n’ai pas trouvé dans cette lecture (que j’ai finie) ce qui a déclenché un tel torrent de louanges. Ces jeunes adolescents sont sympathiques, mais, comme le souligne Bruce, pas tous développés du fait de leur nombre. Les auteurs font bien apparaître l’adolescence comme une charnière entre l’insouciance de l’enfance et la relativité omniprésente de l’âge adulte, en restant dans une approche très classique. Je partage l’avis du chef à 100%.
Ça flingue ! Tu n’aimes pas Snyder ?
Je n’ai lu de Snyder que sa COur des Hiboux et ses American VAmpire. C’est de l’écriture fonctionnelle : efficace, divertissante mais sans aucun style et surtout pas à la hauteur de ses ambitions démesurées. Quant il s’agit de raconter l’histoire américaine via ses vampires et que finalement celle ci défile comme des stages de Jeu Vidéo, on peut se dire qu’il a complètement loupé le coche. On aurait pu appeler ça Cool Vampires ou Vampires à chapeau que le résultat eut été analogue.
Je ne me considère pas difficile pourtant. J’étais assez friand des parenthèses sur le VIetnam et 39-45 durant Preacher ou The Boys. A peine 20 pages. Mais on sent que Ennis maîtrisait son sujet. Ce qui n’est pas du tout le cas de Snyder…
Quant à Sue Deconnick, j’avais bien aimé son Osborn. C’est tout. SOn Pretty Deadly est parsemé d’idées qui parent dans tous les sens pour n’aboutir à rien. Il y a scénariste et auteur….
Au début j’ai cru que c’était le même Snyder que le réalisateur (ben quoi ? Whedon a bien fait du ciné et scénarisé des comics)
Disons que je m’y suis laissé prendre parce que de bonnes idées mais même style prétentieux, même mauvais goût dark (c’est lui qui a fait du joker un mec défiguré qui se colle un masque de peau par dessus non ?)
Je ne connais pas ce bouquin et ne pense pas le lire un jour… Je réagirais juste aux propos sur la hype d’autres auteurs… C’est vrai que c’est assez agaçant, mais au fil du temps, on apprend à ne plus en tenir compte… J’ai lu The Originals en médiathèque il y a des années et c’est vrai que ça cassait pas des briques. Ceci dit, il y a certains TPBs où la préface est signée par un auteur différent du créateur du bouquin avec des textes ou des idées intéressantes…
Au final, la hype d’autres auteurs plus ou moins copains m’agace moins que l’auto-promotion de types comme Mark Millar (qui présente souvent ses pitchs comme révolutionnaires et méga-originaux, alors que ce ne sont que des revisites de thèmes bien connus…)
J’ai bien aimé ce cycle Lemire qui m’a fait découvrir une partie de sa bibliographie que je n’ai pas encore lue. Et ce Plutona me fait bien envie. Mais du coup, je n’y retrouve pas le Lemire qui me plait depuis que j’ai lu sa premiére grande oeuvre en tant qu’auteur complet, son graphic novel ESSEX COUNTY lors de sa traduction française passée un peu inapercue à sa sortie en 2010 chez FUTUROPOLIS. Outre qu’on peut être agréablement surpris d’étre captivé par un pavé de 600 pages sur le quotidien de gens paumés au fin fond de la cambrousse canadienne, il me semble qu’on pouvait déja décéler un talent et un univers qui par la suite a conservé une tenue et une cohérence, même de la part d’un auteur qui a trés vite été débauché par DC et Marvel pour aller bosser sur des genres et des univers et des personnages qui n’étaient pas les siens. Lemire continue de creuser un sillon, de publier des ouvrages en tant qu’auteur complet, de s’aventurer dans des genres tout en essayant d’y intégrer ses thématiques et sa sensibilité. Ca tient moins d’ailleurs à ses histoires qui sont souvent trés classiques qu’à son écriture, à l’atmosphére et aux émotions qu’elles dégagent. Ce qui me touche le plus d’ailleurs chez lui, c’est peut-être la dimension mélodramatique de ses récits : il y a vraiment chez Lemire une volonté de se confronter à l’émotion et de faire des affects des personnages l’enjeu de ses récits et c’est pas si fréquent dans les comics et dans la BD en général. On peut sortir les mouchoirs chez Lemire sans que ce soit ni honteux ni larmoyant.
Oui je suis d’accord sur ce dernier point Ludozman : Lemire écrit joliment et sans pathos.
Et welcome on board 🙂
Je suis quand même curieux de lire cette histoire. Il faudrait que je me trouve une vraie bonne médiathèque moi…
Je crois ne pas avoir vu The trouble with Harry (je n’ai pas vu tous les Hitchcock), le score est très sympa. Tout comme la frimousse de Emi Lennox et son trait qui m’a l’air attachant.
Je suis d’accord pour The Originals, je l’avais achetée à cause de ces remarques dithyrambiques et au final, même si cette histoire n’est pas dénuée de savoir-faire, d’originalité et de chouettes dessins, elle m’a toujours laissée sur ma faim. Je l’ai offerte à un pote qui a bien aimé.
The Trouble with Harry est une excellente comédie macabre pleine de charme et assez inusuelle chez le maître du suspense.
The Originals : je me rappelle que j’avais écris un commentaire -assez mauvais- sur la zone où je rapprochais l’histoire de Quadrophenia des Who.
Je pense que l’influence des Who est totalement assumée voire revendiquée par Gibbons.
Il est sorti en français ! Je l’ai acheté, lu et revendu. J’aurais dû t’écouter Bruce, c’est vraiment pas terrible.
Jeff Lemire, Charles Soule ou encore Cullen Bunn et même Brian Wood…sont des auteurs qui me passent au dessus, mais vraiment…
J’ai pas d’affect, pas d’accroches ni en indé ni en mainstream….
Lemire, très surfait, jamais trouvé de trucs vraiment bon de lui…
Snyder à la rigueur se lit une fois sur 2 (et encore).
(je n’ai pas compris la remarque sur DEE Snider, qui n’a rien à voir avec scott .. Dee étant le chanteur de Twisted Sister, Avocat de la cause Metal ..et Young Cookie … (rapport à la série télé « empire » ??? (en pire) )
Bunn et Soule sont lisibles.. suivant les projets. le seul truc bon de Deconnink est Bitch Planet;
N’oubliez pas que = « être à la mode » est un synonyme de = vends bcp (vends bcp chez les jeunes ou tout autre catégorie de personne)
Vaughan reste bon, Keatinge, Tony Moore.. pour les jeunes (enfin, ces jeunes ont bientôt 40 ans si ils ne les ont pas encore)
@Nolino :
Hello,
1/Lemire très surfait : entre temps, j’ai lu son volume 3 de ses Extraordinary Xmen qui n’ont d’extraordinaires que le nom. Tout simplement lamentable…
2/Snyder : Son American Vampire suceur de bonbons a rejoint le bac à soldes au bout du volume 3.
3/ Bunn : j’ai bcp aimé ses deux premiers tomes de Harrow County et nettement moins le volume 3. Le volume 4 déterminera donc si la série rejoint ou pas ses copains Vampire chez Gibert…
4/ Soule est définitivement perdu à mes yeux. Je ne veux plus jamais rien lire de ce Mr Sinistre. Au moins Bendis ou Millar avant de sombrer du côté obscur ont pondu des trucs corrects.
5/De Conninck : elle avait fait une mini Osborn très correcte. Sa Bitch Planet fait partie des lectures hyper surestimées à mes yeux, j’y trouve son écriture vraiment insupportable. Beurk !
6/ Vaughan : moui, lui je l’aime bien. Même si ces histoires commencent mieux qu’elles ne finissent.
7 Dee SNider et Young Cookie : ah ! Y’en a un qui suit ! C’est effectivement un clin d’oeil au chanteur de Twisted Sister. Quant à Young Cookie : Young = Jeune. Et ce que Monsieur produit me semble plus proche de la pâtisserie industrielle sans saveur qu’artisanale. Pour ma part ce monsieur est à l’humour ce que les frères Wayans au cinéma….
@Eddy : Le Starve de Brian Wood a failli me faire changer d’avis dans sa première partie avant de sombrer dans une conclusion reader friendly dans sa deuxième moitié. J’aime bien quand même.
Ohlala, c’est pas jojo tout ça…
Moi qui étais tentée par ce truc car autocontenu, ça me refroidit un peu je dois dire.
Je tenterais quand même de me le procurer en occasion et de le lire, les dessins me bottent bien tout de même.
Dans la pile « À lire si je trouve une bonne occas’ » donc.
Welcome Onboard Marina.
Guys : Marina nous lit depuis de nombreuses années mais faisait sa timide ! Encouragez là !
Bienvenue !
Vu le pseudo, j’en déduis qu’elle est peur-être fan d’Alpha Flight. À la bonne heure, ont est plusieurs dans ce cas ici (enfin surtout la version de Byrne).
« Vu le pseudo, j’en déduis qu’elle est peur-être fan d’Alpha Flight »
Eh bien en fait non, c’est juste que mes parents ont souhaité m’appeler Carine, mais un officier d’état civil avec la gueule de bois a enregistré « Marina » à la place…
C’est moins glam’ comme origine…
C’est dingue ce nombre d’officier d’Etat civil bourrés, c’est à croire qu’ils fêtent chaque naissance….^^
Sois la bienvenue Marina.
Comme Pierre, je peux émettre une hypothèse sur ton pseudo, mais en plus saugrenue, relative aux bateaux ?
Non plus, mais il y a toujours la sirène de « Zig et Sharko » dans le thème marin !
Hello, Marina. Ne fais pas attention à toutes ces réactions enthousiastes (on dirait qu’ils n’ont jamais vu une fille 😀 ). Non, sans rire, bienvenue au club ! 😉
Merci Tornado !
(même si la première fois que j’ai vu ton pseudo dans une review Amazon, j’ai cru que c’était une francisation du film « Twister » avec Helen Hunt et Bill paxton, et j’arrive pas a dissocier ton speudonyme de ce film (pas très bon au demeurant) …)
Héhé (jamais vu ce film). « Tornado »… C’est à la fois mon vrai nom, à une lettre près, et un pseudo (à une lettre près aussi, donc…), que j’ai dû me trouver dans l’urgence la fois où Amazon m’a obligé à changer de compte pour un changement de carte bleue. C’est tout bête, hein ? 🙂
Et donc rien à voir avec « Red Tornado », ni avec le cheval de Zorro, et encore moins avec « Twister » ! 😀
Twister, le film qui humanise du vent…
Associer des tornades à des méchants tueurs qui ont tué les parents d’un personnages principal et viennent finir le boulot, fallait oser quand même. Non mais imaginez les dialogues du genre « elles sont là pour nous » ou « elle nous poursuit ». Et il y a des tornades dont on ne prononce pas la force ! Non ! Sinon tout le monde s’arrête de parler et se regarde comme si le nom de Voldemort avait été prononcé.
C’est tellement ridicule et solennel que ça peut être drôle à voir.
Avec quelques jours de retard : bienvenue à Marina !
Merci de venir mouiller en ces eaux ! Puissent nos chroniques ne pas te faire mettre les voiles de sitôt.
Même si tous ces récits dessinés ne seront pas que beaux…