Figure Replay 52 : Rumble in the Jungle and other tales
Par : JP NGUYEN
Sur Bruce Lit, pour faire une pause humoristique entre deux rafales d’articles, les figurines de super-héros prennent la pose sans se prendre au sérieux. C’est Figure Replay, rubrique écrite et réalisée par JP Nguyen.
Le 30 octobre 1974, à Kinshasa, Mohammed Ali défiait Georges Foreman dans un combat de boxe devenu légendaire, « The Rumble in the Jungle ». Plus de 20 ans après, en 1996, un excellent documentaire intitulé « When We Were Kings » reviendra sur ce match très spécial. Et presque 44 ans plus tard, un humoriste en manque d’inspiration reprendra ce titre pour l’utiliser dans le 52ème numéro d’une loufoque rubrique nommé Figure Replay.
Puisqu’on est parti sur la boxe, filons la métaphore… Avant chaque numéro, il y a comme une tentation de raccrocher les gants, avec la peur de disputer le combat de trop… Combien de punchlines a-t-on encore en réserve ? Plusieurs semaines d’articles à passer en revue, tiendra-t-on la distance ? Certaines thématiques sont intimidantes, fera-t-on le poids ?
C’est le paradoxe de FR. Je stresse beaucoup à concevoir toutes les saynètes dans ma tête, je crains parfois de me répéter, de m’épuiser et pourtant, quand je rentre dans le match, quand je photographie puis que je mets en page, cela me procure un certain apaisement, comme si je rentrais en transe. Si certains calembours s’avèrent être des pétards mouillés, d’autres venus de nulle part explosent subitement et les pages défilent, m’amenant l’air de rien jusqu’au douzième round.
La figure allégorique reste imparfaite. Il n’y a pas de coups à encaisser et personne en face à mettre KO. Il n’y a aucun titre à gagner. Aucune espèce sonnante et trébuchante à convoiter, et ce, malgré les talents de bateleur de Don Bruce, qui s’y entend à faire de la pub pour chaque numéro. Le côté positif, c’est qu’on ne risque pas de se faire casser la figure (quoique, certaines poses acrobatiques présentent quelques dangers) !
Alors pourquoi je continue ? Parce que cela m’amuse et rajoute une précieuse touche de fantaisie dans ma vie. « Fly like a butterfly and sting like a bee ». Une nouvelle fois, pour ce numéro, j’ai essayé d’adopter la devise d’Ali, en papillonnant à travers les récents articles du blog pour vous aiguillonner de quelques calembours. Ceux-ci feront-ils mouche ?
Go Figure !
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La BO du jour :
Courage ! Vous êtes bientôt sortis de la jungle, terrible jungle…
Eh ben un FR inspiré de plus.
C’est quoi cette intro ?^^ On doute de soi et on veut raccrocher ? Bruce va augmenter les coups de fouet si tu dis ça.
Mes parties préférées sont celles sur Tarzan et le dialogue entre Elric et Conan à la fin.
Les écrivains français, je dois avouer que je ne les connais pas. Je sais juste que certains ont la mauvaise réputation de vendre de la soupe, mais sinon j’avoue que ma méconnaissance de la chose ne m’a pas permis de forcément saisir les vannes envers eux. Même si ça ne m’a pas empêché de saisir le « 99 balles » avec la review « ça douille » ^^ (et j’ai vu le film 99 francs)
J’ai essayé de soigner mon intro tout en essayant de changer la structure, en évitant les annonces plan-plan et les simples anecdotes de prod. Du coup, je suis passé en mode écriture un peu automatique et ma foi, le résultat ne m’a pas paru trop mal. J’ai livré le fond de ma pensée, Omac decrypterai peut-être cela comme… un appel ? une demande de marque d’affection ? autre chose ?
Anyway, le combat continue.
FOUCHTRA!
ne lâche pas les gants, je trouve les FR meilleurs de numéros en numéros
un peu comme quand on suivait les Claremont/Byrne en mensuel à l’époque… 🙂
les pastiches de bouquins et le closer… c’est juste incroyablement génial.
Ah oui le Closer aussi j’ai bien ri^^ « c’est pas ce que vous croyez »
Sur les pastiches de bouquin, j’ai eu comme une sorte d’illumination même si du coup cet humour doublement référentiel ne peut faire rire que ceux connaissant les deux sujets (le Punisher et les écrivains français modernes)
Merci pour tes encouragements.
Je me pose aussi la question. l’idée va faire son chemin je pense…
Je ne peux pas répondre pour JP qui est peut être intéressé par l’idée, mais moi qui dessine des BD, j’avoue que j’ai beaucoup entendu cette question. Et c’est très chiant à la longue. Parce qu’évidemment au delà du compliment il y a l’idée « m’enfin tu fous quoi ? tu gâches ton talent sans te faire de pognon » Hé ho, c’est un foutu loisir ! Et le monde de l’édition est dur, et mes BD sont parfois des hommages qui friseraient surement le plagiat pour certains critiques. Je dessine ce qui me chante, donc parfois je m’amuse à reprendre la scène d’un film que j’ai aimé mais avec mes persos. Et ce genre de libertés, si tu veux jouer dans la cour des grands des auteurs qui publient, ça passe pas. En plus des obligations en tous genres que ça t’impose (être original, faire des trucs qui plaisent au public, etc.)
Peut être aussi que j’ai tout simplement pas envie de me frotter à tout ça parce que pour moi c’est un loisir qui me détend et que je ne tiens pas à ce que ça devienne une source de stress. Déjà quand JP dit qu’il stresse à chaque fois qu’il fait un truc…
Enfin c’est ma réflexion à ce sujet, que personne ne m’a demandé, mais voilà^^ Je suis curieux de savoir ce que JP pense de ça. Il faut dire aussi que son taf est très référentiel à des articles publiés, et que des lecteurs étrangers au blog seraient peut être largués en lisant ses FR. D’où le fait que déjà, il serait sans doute forcé d’adapter son format, de faire moins de private joke…et là on commence à partir dans un truc différent et une restriction de liberté.
Quand tu demandes un financement aussi, tu as des obligations envers ceux qui te financent.
Moi par exemple ça fait un an que je ne dessine plus, en dehors des quelques commissions pour le blog. Parce que des fois c’est comme ça, y’a rien qui vient, y’a pas l’envie. Et je déteste dessiner sans envie. Or les auteurs qui ne feraient que ce qu’ils ont envie, ils n’en vivraient pas. Même ceux qui se tapent des projets de commande qui ne les passionnent pas n’en vivent pas toujours d’ailleurs.
Pour la question du financement participatif, ce serait un beau projet. Peut-être le lancerai-je un jour. J’en ai envie mais il me faut mettre en place toutes les conditions favorables… Et j’ai un job à temps plein et une famille. C’est un équilibre à ménager.
Une BD/roman photo qui se déroule comme un bandeau du haut vers le bas, et qui se termine en feu d’artifice et bouquet final avec le soap Elric-Conan. C’est original, c’est inédit, c’est couillon, c’est frais. C’est du JP ! 😀
Je ne me focaliserai pas sur « couillon », je comprends ton idée derrière ce terme. 😉 C’est vrai que certains gags ne volent pas super haut, mais je pense pouvoir aussi faire plus fin aussi.
Merci Tornado, pour ta lecture et tes retours réguliers.
Oui alors bien sûr, « couillon » est à prendre ici comme une qualité (un humour « couillon », ça a l’air bête, mais c’est fait exprès, et donc c’est plus subtil que ça en a l’air ! 😀 ), étant donné que c’est un genre d’humour que personnellement j’adore tout particulièrement…
Le lettrage sur le titre, la référence subtile au New 52, tout y est.
J’ai adoré cet épisode tourné en extérieur avec cette couverture où Hulk se confond avec les feuillages. D’ailleurs, quand on était môme, c’était le surnom qu’on lui donnait : « Hulk le Vert ». Suis-je le seul à m’en rappeler ?
Fred Duke est toujours aussi tête à claque, sans doute le seul personnage obèse et fier de l’être. J’ai toujours aimé le détester lui.
La dernière cascade de Kraven est fendarde. Le sous-texte : il ne fait pas bon être un chasseur de lion dans une jardin…Lyonnais !
Namor avale ses dents une fois de plus dans un clin d’oeil à Avengers : cela est juste et bon !
Le Punisher publié chez Plomb ? Quoi de plus logique ! J’ai adoré ce passage, un de mes préférés de l’année. Merci pour le clin d’oeil à nos discussions en -off sur cette séquences.
Mais rien, absolument rien ne pouvait me préparer à Namor en une de Closer ! Ma femme et les enfants se souviennent encore du hurlement baleinier poussé par lors de ma première lecture….
Kurt Wagner pour l’hommage au pirate : quoi de plus logique et formidable tribute à Tolkien.
Le (c)améleon commence mal sa (c)arrière chez Bruce Lit : on dirait Fantomas !!!
Les avanies subies par Namor : c’était pour toi, Bruce-public.
Merci Omac, pour tes retours à la formulation toujours travaillée !
Je ne m’intéresse plus que de très loin au monde de l’édition française mais ces petits tacles vers les écrivains fréquemment en tête de gondole pendant la rentrée littéraire était très amusant à concevoir.
Je n’aurais pas imaginé comparer la création d’un Figure Replay à un match de boxe, car ce n’est pas l’idée que je me faisais d’une activité créative.
Dès la deuxième planche, j’étais dans la vibe, avec l’aphone/La faune, et le deuxième effet Kisscool de Graisse-stock. Parmi mes blagues préférées de cette édition : Quasar / Ka-Zar (je ne l’avais pas vue venir), Kraven’s last stunt, expert ès-pagne, le cri de Hulk de la jungle avec le choix du lettrage, l’humour filé sur les ères, les pastiches de titre de roman plus vrais que nature (Et si c’était vraiment vrai ?), l’ego lasse, Herc récusé (ce n’est qu’à la deuxième relecture que j’ai détecté le jeu de mots), Hawk-Moon très bien amené. Il a fallu que j’aille consulter un dictionnaire pour vérifier le sens de bélître dont je n’avais pas du tout idée de ce qu’il désigne. Je crains d’avoir raté un jeu de mot ou une blague dans la réponse de Kitty Pryde concernant Keira Knightley.
J’ai beaucoup aimé la figurine de ce Hulk assez primitif (proche de ses premières apparitions, la couleur gris en moins), et je suis très admiratif du travail réalisé sur Black Panther. Il est superbe.
Comme annoncé par Bruce, la jungle vaut le déplacement ; elle est même plus naturelle que celle du premier film Predator. La une de Closer est irrésistible. As-tu vraiment repeint en rose le postérieur impérial ?
En grand fan de Grant Morrison, j’ai été très sensible au second degré, que ce soit le métacommentaire sur les moyens non extensible de la prod, ou le développement sur le copyright, comme une preuve de l’acceptation du changement après avoir passé les 5 étapes du deuil.
Merci beaucoup pour ce numéro copieux et roboratif.
Jeu des devinettes : comment JP a fait pour le cul de Namor ?
Moi je dirais qu’il a gribouillé la couleur de peau via photoshop puisque de toutes façons, une fois le flou appliqué, on ne verrait plus que ça a été trafiqué à l’ordi^^
Et je devine une forme phallique derrière le flou, et je pense qu’il n’a pas customisé une bite non plus^^
Il y a quand même une occasion manquée avec Quasar : après tout, il est chevalier d’Eon
Merci Présence. Tu me rassures toujours sur le fait que mes blagues puissent fonctionner au moins pour certains lecteurs.
Tu n’as rien manqué, « Pryde et Wisdom » est une mini série des années 90 (ou 2000) à la réputation bof.
Pour Namor nu, Matt a vu juste, c’est de l’infographie (avec l’outil tampon et pas simplement le pinceau)
Par rapport à l’envie de publier en livre, je comprends les arguments de Mattie Boy : le plaisir avant tout.
Les principaux obstacles seraient à mes yeux juridiques : les actions figures de Jp sont sa création mais utilisent l’image du matériel DC/Comics.
Deuxième obstacle : effectivement le contenu éditorial lié à l’actualité du blog. C’est pour ça que je trouve que souvent les gags les plus puissants sont ceux comme Le Punisher : déconnectés du reste, immédiatement parlants et placés au milieu (question rythme, c’est imparable).
Je ne t’en voudrais pas JP si tes FR faisaient moitié moins que ce que tu produis avec tant de générosité. En fait FR, c’est une lecture kiosque : il y a l’épisode principal, puis des pastiches, quelques chansons et enfin les scènes bonus dont la mise en scène pourraient être un épisode à part entière. D’autres que toi se ménageraient pour scinder ces rubriques en plusieurs.
Sur l »envie de décrocher, c’est la même qui m’anime à chaque fin de saison : « et maintenant, que vais je faire ? » « Au bout de 1000 cadeaux, comment être sûr que le 1001 fera autant plaisir ? Qu’il séduira comme au premier jour ? » . La réponse est dans ce que décrit JP : ce plaisir de se retrouver quasi quotidiennement depuis 2190 jours.
Je regardais un document sur goldman ce midi : il estimait à 35 ans qu’au bout de 4 albums il avait déjà tout dit et que désormais (à l’époque), il continuait pour le plaisir des à côtés de la création : jouer avec ses amis, faire de la scène et retrouver à l’occasion le déclic de créer une chanson.
Tout ça pour quoi ?
Ah !
C’est cool de vieillir à vous côtés les amis !
Bon, apparemment, le superbe travail de JP incite à l’autobiographie et au dilemme cornélien concernant les velléités de publication. Je suis du même avis que MATT : liberté totale sinon rien. Plus il y a d’intermédiaires – le pire étant les bonnes volontés qui rêvent de t’apporter leur aide – et moins tu te retrouves dans le produit final. Ce serait d’autant plus triste que tu as trouvé un créneau formidable et que tu y fais preuve d’un véritable talent. On dit souvent qu’il faut mettre de l’eau dans son vin ; en revanche, pas question de diluer l’humour d’un JP dans les suggestions extérieures. Prends soin de ton « bébé » et, le moment venu (ou pas), lâche-le dans la jungle des éditeurs ou du crowfunding, mais sans aucune concession sinon envers toi-même.
Concernant la métaphore du combat de boxe, elle est des plus pertinentes. Aspirer à une telle qualité sur la durée nécessite de combattre ses propres démons : l’incertitude, la lassitude, la phobie de la page blanche, la facilité des blagues Carambar, etc… L’apparente facilité de certains jeux de mots ne doit pas masquer toutes ces heures à tenter de séduire la Muse.
À titre personnel, je préfère être apprécié par quelques happy few dont je sais que les compliments sont sincères. Bien sûr, le beurre dans les épinards, ça ne jamais de mal, mais je considère que la différence entre offrir et produire est abyssale. On ne compte plus les talents déchus, pressés comme des citrons par les impératifs de l’offre (ciblée) et de la demande.
Ne pas vouloir être publié, surtout à n’importe quel prix, n’est pas forcément une pose, mais un choix d’exigence. On la retrouve dans chacun de tes FR, ainsi qu’un vrai sens du partage, bien trop rare à une époque où toute entreprise doit nécessairement se transformer en argent.
Merci.
Tu dis des choses vraies. Il y a aussi le fait que, comme le déclarait d’ailleurs Joe Benitez dans une interview dans un des tomes de Lady Mechanika, parfois les compliments et conseils des proches, ça a un effet pervers. Benitez avoue qu’il était trop sûr de lui et un brin prétentieux quand il a débuté parce qu’il était encouragé et félicité par ses proches. Mais qu’en arrivant sur le marché et avec plein d’autres talents autour de lui, ça a fait mal au début et il a du travailler et se montrer plus humble.
Évidemment c’est toujours mieux que de se faire constamment rabaisser, mais il faut faire attention aux compliments des copains. Si JP avait pondu les New X-men, surement que Bruce l’aurait félicité, mais puisque c’est Morrison, un mec dont il n’est pas proche, le vrai avis de Bruce est exposé : il n’aime pas et reproche plein de trucs à l’auteur^^ (enfin, grosso modo, c’est un exemple)
Si un proche en dehors du monde de l’édition fait une BD sympa à titre amateur, on trouve ça bien. Si c’est noyé dans le monde de l’édition, que ça se vend à un certain prix, et qu’on ne connait pas l’auteur, ce sera parfois à peine sympa.
Du coup les intermédiaires plein de bonnes intentions, il faut faire gaffe aussi.
Évidemment on ne peut pas forcément faire ce qu’on veut dans la vie. Mais c’est pourquoi en général on choisit un boulot en fonction de ce qu’on est prêt à accepter de faire par obligation sur un sujet qui nous intrigue suffisamment. Mais pour ma part, les moindres contraintes, obligations, dessins de commande qu’on peut me demander, ça me gâche le plaisir (ouais ouais, même quand Bruce me demande du Nikolavitch, si je suis pas inspiré, ça m’emmerde^^ C’est pas pour rien que je me contente de petites modifications du dessin de base, pour l’aspect humoristique dans un sens mais surtout pour ne pas trop m’emmerder^^)
L’affiche du Closer me fait m’interroger : ce qui rentre dans la femme invisible, devient-il invisible également ? ^^
(La classe)
En tous cas félicitation pour se FR toujours aussi drôle et décalé 😉
En bon geek, je me dois de fournir une réponse à ta question, Patrick : ce qui « rentrerait » deviendrait forcément invisible, puisque sinon, on verrait aussi les aliments en cours de digestion…
Merci de te fendre d’un petit commentaire, grâce à toi, FR est une rubrique lue à l’international !
Merci Ozymandias pour ton retour bienveillant, qui vient s’ajouter aux autres et fait toujours plaisir.
Concernant un projet de publication en livre physique, si je devais tenter le coup, ce serait surtout pour conserver une trace matérielle, si possible sous la forme d’un bel objet livre, de tout le travail de création de Figure Replay depuis déjà plus de 50 numéros.
Les données sur serveurs informatiques peuvent s’effacer, disparaître au détour d’un bug. Dans 5 ou 10 ans, que seront devenus mes fichiers sources ?
Je sais bien que quelques kilos de papier imprimé de plus ne feront pas grande différence mais si mes filles pouvaient relire ça un jour, ça me botterait bien.
Pour l’aspect juridique, je pense que le droit à la parodie pourrait pas mal me servir, modulo certains ajustements (après tout, Neault à bien utilisé des personnages DC et Marvel pour sa BD The Gutter)
Pour le côté financier, je le ferai plutôt en financement participatif, en cherchant d’abord à couvrir les frais d’impression et de distribution…
Moi j’ai imprimé toutes mes BD retravaillées à l’ordi^^ Euh…j’ai fait ça au boulot…ahem…
Faute d’objet livre, j’ai « relié » ça avec des baguettes plastique pour tenir les feuilles^^
Les fichiers numériques sont aussi sauvegardés sur un petit NAS perso avec RAID 1
Monstrueux ce détournement de Closer. Merci pour ce fou rire et le partage Facebook.
Alors aucune pression de ma part (malgré mon nom….oH non tu es contagieux!)
mais si on parle ou on rêve du financement des Figure Replay…
c’est parce que seuls quelques trucs sont à « bidouiller » pour que ce soit possible.
Oui il y a des lois sur le pastiche qui permet pas mal de choses, c’est donc pas trop embêtant.
tu as déjà commencé à changer ton fusil d’épaule concernant l’actu du blog et en diversifiant les formes d’humour en rajoutant les séquences Voyage de Conan et les couvertures de bouquins….
on est donc vraiment sur la voie d’une publication possible.
Le seuls truc que je vois qui pourrait être un obstacle, c’st qu’on pourrait prendre tes gags pour l »antique « Wizard Toyfare Theatre » qui avaient un peu le même concept.
S’est de la bonne FR lol.
puisque c’est Morrison, un mec dont il n’est pas proche, le vrai avis de Bruce est exposé : il n’aime pas et reproche plein de trucs à l’auteur^^
Dieu m’en préserve ! Je n’ai aucun ami comme lui : arrogant, présomptueux, mégalo, prétentieux et…et…Non, ce mec c’est pas possible 🙂