Fables War and Pieces par Bill Willingham et Mark Buckingham
VO : Vertigo
VF : Panini, puis Urban
Cet article portera sur la déconvenue survenue à la lecture de Fables à partir de Wolves et trouvant son apothéose aux épisodes 70 à 75 de la série.
La deuxième saison contre Mister Dark commençant juste après et allant jusqu’au numéro 150 vous sera commentée par Présence demain.
War and Pieces marque le tournant de Fables. Il s’agit de conclure l’arc principal de la lutte contre l’adversaire qui s’étirait sur les 10 premiers volumes.C’est aussi le moment où j’ai décidé de décrocher. Et voici pourquoi.
Attention, cet article est déconseillé aux lecteurs ne connaissant pas l’identité de l’Adversaire et aux lecteurs qui ont peur du loup….
J’avoue, j’entretiens avec cette série des rapports ambigus : je l’ai découverte avec enthousiasme il y a quelques années et trouvait le concept révolutionnaire rappelant la démarche d’Alan Moore et sa Ligue des Gentlemen, à savoir faire de personnages des contes de notre enfance des héros de Comics.
Les histoires étaient rudement bien ficelées , et les personnages hauts en couleurs avec des contre-pieds amusants puisque le Shérif de Fableville était le Grand Méchant Loup, le Prince Charmant un arriviste cupide et Cendrillon, une espionne rompue aux techniques de combat.
Alors que s’est il passé ? Et bien disons, que parfois ; l’amour ne résiste pas au temps. Et Dieu sait que Willingham a usé et abusé du temps pour exposer son récit. Des volumes entrecoupés de mini histoires souvent pathétiques, n’apportant rien au récit , et venant sans cesse interrompre l’histoire principale comme autant de pages de pubs malvenues. Une fois, ces fill-in terminés, l’histoire principale reprenait avec d’autres personnages laissant en jachère un cliffhanger résolu 20 épisodes plus tard…
Et cette écriture décompressée où des personnages jactent en plus de ne rien faire ! Et surtout, une certaine malhonnêteté consistant à tricher avec son lecteur ! Un problème surgit ? La communauté échafaude un plan génial, dont on se demande bien pourquoi personne n’y avait pensé avant ! Que ce soit dans Wolves ou The Good Prince, on sort ensuite des tours de magies qui viennent renverser les plans les plus démoniaques où les Fables sortent subitement de leur torpeur parce que le script l’exige.
Par exemple pour cette dernière histoire, deux épisodes laborieux sont consacrés à l’espionne Cendrillon chargée de retrouver Pinochio qui a trahi son père pour venir rejoindre les Fables. Pourtant dans l’arc précèdent, il était bien mentionné que Geppetto lui avait fait boire un boisson de loyauté dont tout le monde ici oublie l’existence ! Bon ! et la Cendrillon, elle fait comment pour retrouver Pinochio ? Et ben, un sort magique lui sert de GPS si bien qu’elle perçoit sa présence à des kms à la ronde ! Mieux que Daredevil….
Dans Wolves, Bigby retiré de Fableville essaie d’oublier son exil dans les bras d’une autre femme, qui disparaît deux planches plus tard… Blanche lui pardonne aussitôt cette infidélité en deux cases pour l’épouser alors qu’elle n’a jamais pardonné les adultères du Prince Charmant….
Et que dire de l’incursion de Bigby chez l’adversaire, qui en 10 pages fait ce que les fables n’ont pas réussi en plusieurs siècles ! Infiltration directe chez Gepetto (l’identité secrète de l’adversaire), ultimatum, destruction d’une partie du Royaume et échappée belle sans transpirer…
Et Willingham se déchaîne pendant ce dernier arc. Ne pas donner au lecteur ce qu’il attendait, c’est très bien. Lui proposer du vent, bien dessiné, bien dialogué sans aucune consistance ni de raccords avec les volumes précédents, c’est pas trés gentil. Dans The Good Prince, le prince Ambrose battait une armée sans verser une goutte de sang en ayant toujours une longueur d’avance sur l’adversaire… Il ressuscitait également Shere Kahn et Barbe Bleue qui ne servirent finalement à rien. Gretel non plus ….
Par contre Willingham se perd dans d’interminables préparatifs d’une guerre de Fables qui finalement n’a pas lieu. Le lecteur alléché par tous ces protagonistes aux pouvoirs extraordinaires est privé des combats qu’on lui promet depuis le début de la série ! Gobelins et dragons sont finalement inoffensifs depuis des milliers d’années. Bigby descend l’Adversaire en deux pages, après une série de victoires contre des adversaires invisibles et une stratégie basée sur les facilités de téléportation ! La terrible reine des neiges et Hansel sont ridiculement neutralisés et Gepetto sombre soudainement dans la folie avant d’être gracié !
C’est quand même le monde à l’envers sachant que les Fables nous avaient habitué à des actes de cruauté parfois supérieurs à leur ennemi juré ! Jean le fidèle, leur ami ? jeté vivant dans un puits ! Baba Yaga ? Torturée à mort ! Barbe Bleue ? empalé vivant ! Les frères de Bigby ? transformés en poisson rouge sous le regard amoureux de Blanche !
Cendrillon fait également d’un sadisme disproportionné envers les ravisseurs de Pinocchio en les exécutant froidement et en les éborgnant de manière cruelle (tiens , là pas de sort pour neutraliser ses adversaires pacifiquement ).
Persévérant, votre serviteur repris il y a quelques semaines les numéros 75 à 117 pour vérifier si après toute ces années, Willingham faisait autre chose qu’utiliser les meilleurs dessinateurs de son époque pour conter des histoires sympathiques mais creuses et décompressées. Ouch ! c’était même pire ! Un vilain ridicule (Mr Dark), une histoire de succession interminable (les sept enfants de Bigby) et ces maudits Tie In interrompant le cours de l’histoire plus inutiles les uns que les autres. Et toujours des Deux Ex Machina comme s’il en pleuvait.
La BD, c’est comme la vie, il faut éviter de se faire mal pour rien. Et ici, une série fantastiquement creuse qui passe son temps à gruger son lecteur et refuser de raconter une histoire consistante, sans aucun double sens (tiens, ch’ais pas la douleur de l’exode ou celle de l’intégration...), ce qui est finalement le comble lorsque l’on sait que les contes de notre enfance rengorgeaient de multiples niveaux de lectures. Un divertissement réussi si l’on ne s’attache pas aux tics d’écritures exaspérants de Willingham, qui s’éloignai du charme fou des premiers volumes pour raconter une histoire abracadadabrante vidée de toute substance, sans réelle direction si ce n’est le plaisir de suivre des personnages sympathiques.
Le sort jeté, la magie rompue, je m’éveillais de Fables sans que personne ne m’embrassa, libéré, délivré, avec le souvenir de situations charmantes mais dont j’avais déjà tout oublié au réveil…..
« Final Fantasy » 2/6
Fables, c’est terminé ! Est ce à dire que je vais regretter la série ? Et bien non ! Il y en a qui trouvent que la saga « Fables », c’est de la poudre de Perlimpinpin. De la fumisterie. En gros, de l’arnaque quoi ! Et voici pourquoi !
La BO du jour : il était une fois des exilés qui regrettaient leur Fableville. Tout comme Polnareff, exilé fiscal de l’époque qui commença sa « lettre à France » par …..Il était une fois, lui aussi ! http://www.dailymotion.com/…/xquwgz_michel-polnareff..
Il doit me manquer une capacité intellectuelle, car je suis incapable de repérer ces incohérences d’intrigue, qui sont pourtant bien là, telles que Bruce les énumère. Effectivement, la narration de Willingham est gentillette et sans prétention, un divertissement léger (et d’un autre côté ça vaut mieux, parce que Willingham s’est montré peu pertinent les rares fois où il a essayé de s’aventurer sur un terrain plus sérieux).
C’est vrai que les pouvoirs magiques sont bien utiles comme deus ex machina pour sortir d’une situation fermée. C’est vrai encore qu’il n’y a pas de cohérence dans leur utilisation ou leur inutilisation. Et pourtant j’ai trouvé cette série très amusante, un moment de détente en retrouvant des personnages sympathiques (malgré leur cruauté vis-à-vis de leurs ennemis), ce que Bruce a également relevé.
Quant à la guerre contre l’adversaire, je me suis bien amusé en découvrant la stratégie inattendue de Bigby et des autres, réduisant à néant tous les préparatifs de l’Adversaire (jamais on ne verrait ça dans la vraie vie… Quoi la Ligne Maginot ?). Au final, je ne peux qu’être d’accord avec Bruce sur le fait que Bill Willingham a fait en sorte de ne pas donner à ses lecteurs, ce qu’ils attendaient.
A chaque lecteur sa perception. Et ce n’est jamais exactement la même !
Comme toujours, ce n’est pas tant ce que ça raconte qui m’intéresse mais la manière dont c’est raconté. A partir du moment où il y a une histoire, même simple, une atmosphère et du style, je suis comblé.
Et Fables c’est super bien raconté ! Pas une seule fois je n’ai cherché à savoir si tout ça tenait la route, mais juste à me laisser porter par cet univers délicieux.
Et puis après tout, comme le titre l’indique, ce ne sont que des Fables !
Ce que j’aime dans cette série, ce sont ces personnages, leur caractérisation unique et leur univers atypique. Je ne suis pas d’accord avec Bruce sur le manque de fond de la série.
Willingham s’attache autant à la psychologie des divers personnages (faussement superficielle au départ) qu’à l’humour généré par les divers anachronismes de la vie de ce monde magique et ancestral au cœur de New-York. Un humour à double facette, qui fonctionne à la fois sur le contraste entre le merveilleux et le prosaïque et sur la modernisation des archétypes, avec toute la dimension grivoise que cela suppose !
En définitive, l’auteur joue sur les contrastes, et réinterprète les vieilles figures poussiéreuses des Fables et autres contes mythologiques dans l’ère postmoderne. C’est ça, la toile de fond de la série. Et c’est un sacré beau boulot sur ce point, plein d’esprit et de poésie.
Par contre, je suis d’accord pour dire que les tie-in sont parfois (souvent) inutiles, uniquement là pour laisser respirer l’équipe créative entre deux arcs narratifs.
Le second degré constant est également un des gros défauts de l’ensemble, je trouve, car il désamorce souvent les situations émotionnelles. On a ainsi du mal à prendre au sérieux certaines amorces dramatiques.
Enfin, je trouve que la série est moins originale que ce qu’on voudrait nous faire croire, dans le sens où le concept de base, à savoir le fait que le monde magique vit caché sous nos yeux, est d’abord l’apanage de Harry Potter. La comparaison est d’ailleurs rarement évoquée, alors qu’elle est flagrante ! De plus, la mythologie développée par J. K. Rowling est d’une telle richesse que Willingham fait presque figure d’artisan en comparaison !
Bruce, je ne sais pas comment tu te rends compte de tout ça ! Je n’ai toujours pas relu mes Fables, et même si tout ce que tu dis est vrai, je ne perçois pas tout ça. Cela serait sans doute plus flagrant pour moi si je les lisais à la suite, ce qui n’a jamais été le cas puisque j’attendais patiemment chaque nouveau tome.
Tout comme Tornado et Présence, je m’attache tellement aux personnages que je passe outre ces problèmes et facilités. Je sens bien que la qualité est moindre, mais c’est toujours un plaisir de lire un Fables.
C’est vrai que Mr Dark n’est pas très charismatique ni effrayant, mais la qualité des histoires est remontée à partir de l’épisode 114 pour moi (merci Présence et ton article sur la zone, puisque pour moi c’est le tome 19 🙂 ).
Quant au parallèle avec Harry Potter, je suis totalement d’accord avec Tornado.
@Jyrille : je ne sais pas comment tu te rends compte de tout ça ! Je n’ai toujours pas relu mes Fables, et même si tout ce que tu dis est vrai, je ne perçois pas tout ça. Disons, qu’à l’époque où Panini saucissonnait les arcs par quatre épisodes pour multiplier les gains (comme pour The Boys), je lisais et relisais les histoires. Au fur et à mesure, je m’impatientais, attendre 6 mois pour que l’intrigue avance d’un poil, au bout d’un moment c’était plus possible. En empruntant 3 volumes à la médiathèque soit une bonne quinzaine d’épisodes, je me suis aperçu que Panini n’était pas le seul fautif. Lorsque un personnage est sur le point d’être exécuté, que le doute plane sur sa mort et qu’on enchaîne avec desTie-In mettant en scène un personnage en pain d’épices, un conte de noël idiot ou les aventures d’un Porc Epic, c’est insupportable malgré la qualité des dessins….
D’ailleurs tous ces Tie-Ins, je ne les aurais pas lus s’ils avaient été dissociés de la série. C’est d’ailleurs ce qui m’agaçait déjà du temps de Sandman, où au moins, ces parenthèses étaient publiés à part. Le problème est finalement le même que pour les crossovers Marvel: on est à fond dans une histoire avant d’être pris en otage par les réalités éditoriales.
@Tornado: m’étant endormi au bout de 20 minutes du premier Harry Potter (le film), je te crois sur parole. En plus j’aimais bien, simplement fatigué ce soir là….Sur la double facette que tu évoques, je la perçois jusque un peu après « La marche des soldats de bois ». Ensuite, la série sombre dans une routine de super-héros atypique où vraiment, y’a pas grand chose quoi…..Lorsque je reprends la série 5 ans après l’avoir arrêtée, La Belle et la Bête continuent de se demander ce qu’ils doivent faire. Et Bigby d’être séparé malgré lui de Blanche…..
Oui, il y a de l’esprit, Wuillingham connaît ses personnages et fait un vrai travail imagination. Mais franchement, la série, en ce qui me concerne aurait pu durer moitié moins, ce que la trame d’ensemble n’en souffre.
@Présence: je savais que tu dirais (tout) ça. Parce qu’en plus il s’agit d’un commentaire amazon remis à jour qui commence à dater. Je n’ai rien contre le Comics de pur divertissement où il n’y aurait pas forcément à chercher midi à quatorze heures. Simplement, lorsque une série dure une quinzaine d’années, je me sens plus exigeant d’investir autant de temps et d’argent dans quelque chose qui en vaille la peine. Lorsque je vois Hypertension, je m’éclate, c’est bourrin, régressif, violent mais fun et ne prétend pas être autre chose qu’un divertissement de 80 minutes. Fables, pour m’accaparer autant devait me proposer assez pour que j’y consacre 15 ans de ma vie. C’est tout simple.
Je comprends ton point de vue. De mon côté, un Fables, c’est 80 minutes de lecture agréables, malgré les défauts et les tie-ins comme tu les appelles qui ne sont souvent pas très intéressants. Parfois je les trouve pertinents et sont de petites histoires à part entière dans lesquelles certains personnages peuvent être approfondis, comme celui sur Raiponce dessiné par Gene Ha.
Le teaser de Présence:
« Final Fantasy » 2/6
La série Fables de Bill Willingham & Mark Buckingham a duré 150 épisodes, mais pour certains lecteurs, elle s’est arrêtée bien avant quand ils ont constaté ses défauts réels (guerre contre l’Adversaire bâclée, incohérences énormes, absence de thématique).
Je pense pour ma part que les personnages de Fables n’ont jamais réussi à être choses que des archétypes (pas de connotation péjorative, mais au sens littéral) qui ne m’ont jamais parlé personnellement et surtout pas ému, touché. Ce sont juste des mises en situation amusante sans aucune catharsis ni expérience de vie à la clé. Et ce n’est pas ce dont j’ai envie/besoin en ce moment.
Il est vrai que les personnages, étant des archétypes à la base, n’ont pas forcément une psychologie étendue, mais ils ont tout de même une personnalité un peu plus creusée que ça. Rose Rouge, Bigby, Blanche Neige, Crapaud et les autres vivent toutes et tous des expériences traumatisantes qui nous touchent. Enfin, je le ressens comme ça, à part pour cette crapule de Jack.
Une série qui semble partager le public avec de bonnes critiques et des mauvaises.
Pour ma part, c’est comme pour Walking Dead. Ma seule entrée dans l’univers de Fables c’est le jeu-video d’aventures de Telltale Games. Les mêmes qui ont fait les jeux Walking Dead et qui se font une spécialité de faire des sortes de spin off de séries (il y a un jeu Batman, Borderlands, WD, Fables, Jurassic park, Game of Thrones, etc)
Le jeu est excellent par contre. Un polar noir dans l’univers des Fables avec une très bonne histoire, de super personnages et une ambiance très prenante.
Le titre ? The Wolf among us :
https://www.youtube.com/watch?v=_9dsxUeRKIQ
Et puis l’opening parce qu’il est chouette :
https://www.youtube.com/watch?v=_htfCzTjCpA
Qu’on ne vienne pas me dire qu’il n’y a aucune forme d’expression artistique dans les jeux.
Wow, ça a l’air super ça !!!!!
C’est sorti quand ! Quelle ambiance ! Un score et des voix adaptées ! Tu y a joué ? Tu pourrais faire la review ?
Oui oui je l’ai fini 2 fois. C’est sorti en 2013.
J’imagine que je peux faire une review. Faut voir comment aborder la chose. Finalement c’est un jeu d’aventure donc ce n’est guère différent d’un film ou comics. L’intérêt est l’histoire, les personnages, les choix, l’ambiance.
Par contre j’y connais rien au comics hein. C’est ma première entrée dans cet univers et il me semble que ça se passe avant le comics. Bigby est détective et enquête sur un meurtre de Fables prostituées.
Donc j’aurais du mal à rapprocher les éléments du jeu de ceux du comics.
Je peux le chroniquer tel quel, sans rapprochement avec la BD.
ok !!
Les jeux Telltale sont très bons en général (du moins les récents)
C’est juste que ça pèche un peu au niveau du gameplay puisqu’on a affaire surtout à une sorte de film intéractif avec des choix de dialogues, des QTE pour les phases d’action, des routes différentes, des relations qui varient selon nos choix, mais qui aboutissent à la même fin parce que le but principal est de raconter une histoire travaillée avec une intrigue bien ficelée.
Cela peut donc décevoir les amateurs de button mashing puisqu’il s’agit surtout de suivre une histoire, mais quand on sait à quoi s’attendre, c’est carrément le top niveau ambiance et personnages.
L’ouverture est très belle. Je suis moins fan du design avec ces gros traits noirs sur les personnages, mais ça a l’air chouette oui ! Il faut que j’en parle à Maël.
C’est du cel shading. Un procédé utilisé dans les jeux tirés de BD ou dessins animés.
C’est un modèle d’éclairage non photoréaliste utilisé en synthèse d’image. Il permet de créer des images à l’aspect « cartoon »
Graphiquement, le rendu se caractérise par des contours marqués et une palette de couleurs réduite, comme dans les dessins animés traditionnels, d’où la référence aux celluloïdes. (cf wikipédia)
Pour ma part je suis fan.
Merci pour les infos ! J’ai déjà vu ça, n’était-ce pas ainsi que le DA Renaissance a été fait ?
Hummm…je suis tenté de te dire oui.
Mais j’avoue que je n’y avais pas pensé. J’utilise ce terme pour les jeux surtout, puisqu’il est question d’éclairage dynamique 3D. Dans un film il n’y a rien de dynamique, c’est une vidéo.
Mais bon oui, c’est un peu comme s’ils avaient filmé de la 3D en cel-shading^^
Comment ça je chipote sur les mots ?
Le Cell Shading c’est apparu avec le jeu XIII non ?
Tu avais joué à Farenheit ? Avec la musique de Badalamenti !!!!
Nan, dans Jet Set Radio par SEGA. en 2000.
Je n’ai pas joué à Farenheit. Quantic Dream a fait de bons jeux mais pourtant je n’ai pas joué à grand chose. J’avais commencé the Nomad Soul sur PC à une époque mais je crois que le jeu ne marchait pas bien sur mon PC, j’ai du arrêter.
Allez je prépare l’article rapidement pendant que j’arrive encore à être motivé.
Et parce que vous me motivez^^