Encyclopegeek : Transformers par Takara, Hasbro et Toei Animation
Par : JP NGUYEN
1ère publication le 13/04/17- MAJ le 27/08/19
Cet Encyclopegeek portera sur les Transformers, les robots transformables popularisés dans les années 80, sous la forme de jouets et d’une série animée. A l’instar de l’article de Bruce sur les Maîtres de l’Univers , je ne prétendrai nullement à l’exhaustivité sur le sujet, très vaste, mais proposerai simplement de revisiter les souvenirs d’un fan-boy longtemps émerveillé par cette franchise.
Anecdotobots, transformation ! Faisons face aux Spoileralacons !
Rencontre du troisième type (et de tous ses potes…)
« Dans la nature, rien se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » Avant d’entendre cette citation de Lavoisier en cours de physique de 4ème, le jeune JP en avait déjà l’intime conviction, et ce, par le truchement d’une série animée découverte bien des années auparavant, sur une plage « En Clair » de Canal Plus. Les images non cryptées du petit écran m’avaient fait découvrir un univers formidable où de gentils robots pouvant se changer en véhicules terrestres, luttaient contre d’autres méchants robots, qui eux, se métamorphosaient en avions et autres armes de guerre. Le traducteur de l’époque, souhaitant sans doute éviter de trop faire parler de ces p’tits cons, les rebaptisa « Decepticans » (prononcé « âne » à la fin), tandis que les gentils tout beaux gardaient leurs noms d’Autobots (prononcé « bo » et pas « botte », car ça n’aurait sans doute pas été le pied).
Les deux armées débarquaient de Cybertron, lointaine planète aux ressources épuisées, et s’étaient échoués sur Terre à l’époque préhistorique, percutant une montagne et entrant en sommeil, jusqu’à leur réveil au détour d’un séisme. Pas encore blasé par des années de lectures et séries geeks, je n’avais pas perçu le côté cliché de ces origines, mixant à la va-vite le mythe de Superman (le monde extra-terrestre condamné, la fuite dans l’espace), la ficelle scénaristique du héros endormi puis réveillé (comme Captain America dans son bloc de glace) et le manichéisme classique des DA des années 80, sorte de continuation de la Guerre Froide avec une représentation de 2 blocs en perpétuel affrontement.
Dès l’épisode pilote (découpé en 3 parties) et dans l’ensemble de la saison 1 (qui ne comptait que 13 épisodes), j’étais saisi par le charisme d’Optimus Prime, le leader des Autobots, qui se transformait en camion (américain, of course) et se parait des mêmes couleurs qu’une certaine bannière étoilée. Même le doublage un peu spécial de Francis Lax (qui faisait aussi la voix de Hutch pour donner la réplique à Starsky) ne diminuait pas l’aura du chef du camp des gentils. En face, il y avait Megatron (punaise, ça c’est du nom qui claque !), doublé par Henry Djanik (Kojak et Ikki du Phoenix dans Saint Seiya !). Dans la catégorie méchant irrécupérable, affreusement puissant, imbu de lui-même et manipulateur, il se posait-là. Pendant longtemps, il symboliserait le Mal Absolu dans mon imaginaire, avec sa forme robotique dotée d’un canon géant sur son bras droit et son pouvoir de se transformer en pistolet avec lunette de visée…
Accroche-toi aux robots, je retire l’échelle
Quoi ??? Un camion américain contre un pistolet à lunettes ??? Mais pourquoi Optimus il lui roulait pas dessus, sur le Méga-Etron ? Nous abordons un problème de taille (sic) dans la suspension consentie d’incrédulité concernant l’univers des Transformers. Bien des années plus tard, j’appris que la franchise était née d’un plan marketing bassement mercantile de la firme Hasbro visant à commercialiser en Occident toute une flopée de jouets-robots transformables de divers fabricants japonais (en particulier Takara) en les réunissant sous une même bannière.
C’est pour cela que Jetfire, un des rares Autobots pouvant se transformer en avion, possédait, dans sa forme de jouet, une apparence similaire aux chasseurs Valkyrie/Varitech de Robotech. Le jouet avait tout simplement été conçu indépendamment avant d’être inclus à la « continuité » de la franchise. Mais continuité est presque un gros mot concernant les Transformers, j’y reviendrai… Tout cela pour dire, qu’à la base, les jouets existaient juste en tant que gimmick : un robot pouvant se transformer en objet/véhicule/animal, point barre.
Mais en les réunissant dans une histoire commune et en les faisant interagir, forcément, il y avait des couillonnades. Sous leur forme de robots, Optimus et Megatron étaient de même taille. Mais une fois transformés, Mégatron pouvait tenir dans la main de son second, Starscream, un pathétique Iznogoud decepticon, qui cherchait toujours en vain à supplanter son chef. Soundwave faisait un sous fifre plus fiable mais sa forme transformée laissait à désirer : il se changeait en… radiocassette ! Pour booster son potentiel de nuisance, il pouvait compter sur ses cassettes se transformant en jaguar, oiseaux de proie ou mini-robots pouvant provoquer des séismes…
Le lien intime entre le placement de jouets existants et le peuplement de l’univers fictionnel conduisait inévitablement à rajouter sans cesse de nouveaux personnages surtout à partir de la saison 2 (épisodes 14 à 62), parfois selon des thèmes (les Dinobots, les Insecticons, les Constructicons) ou tout simplement pour faire grossir les troupes. Ainsi, bien qu’appartenant au camp des « Auto »-bots, certains robots possédaient parfois des formes excentriques éloignées des véhicules à quatre roues (Perceptor, le microscope, Cosmos, la soucoupe volante ou Blaster, le radiocassette ghetto-blaster), perpétuant les problèmes d’échelle variable entre robots. Quelques années plus tard, un JP ado devenu fan de Marvel tenterait de rationaliser la chose en émettant l’hypothèse de propriétés similaires aux particules Pym… Pour les changements de couleur du pantalon de Saint Seiya lorsqu’il revêt son armure ou pour la création d’un trou noir par modification de l’axe de la Terre par les C-Rex dans X-OR , JP le petit scientifique resterait en revanche à jamais sans explication…
Des robots très humains
Dans le dessin animé, Autobots et Decepticon se disputaient l’enjeu de l’Energon, des cubes pouvant stocker l’énergie pure, convertie à partir de n’importe quelle autre source (pétrole, électricité…). Dans les années 80, le premier krach pétrolier était encore dans toutes les mémoires et la caractère limité des ressources naturelles était désormais de notoriété publique. Tout occupés à leur guerre, les Transformers avaient dilapidé les richesses de Cybertron et fini par devoir la quitter. Pour une série mettant en scène des êtres artificiels, ce message écologique était quelque peu ironique mais bienvenu…
Mais l’enfant que j’étais ne considérait pas vraiment ces personnages comme des robots, tant les auteurs leur avaient donné des personnalités distinctes et rapidement identifiables. Il y avait le curieux et intrépide Bumblebee, qui se changeait en Coccinelle jaune, l’affable et cool Jazz, friand de contacts avec les humains, Ironhide, le second d’Optimus Prime, vétéran bourru et querelleur, Ratchet, le médecin (qui se changeait en ambulance, forcément) et enfin mon favori, Wheeljack, le savant fou qui inventait toujours un tas de trucs… Il y avait aussi de vrais humains, Spike et son père Sparkplug (où avait-il été pêché un tel nom) et plus tard Chip, leur copain en fauteuil roulant et Carlie, la girlfriend de Spike mais je dois avouer qu’ils m’intéressaient assez peu.
Mis à part Optimus Prime, héros de plusieurs épisodes (surtout au début de la série), le reste des Autobots formait un casting qui tournait fréquemment, avec de temps à autre un focus accordé à un robot ou une équipe en particulier (les Dinobots, les Aérobots…), histoire de pousser un peu les ventes… Même si une logique commerciale aussi flagrante peut sembler horripilante, elle permettait une certaine variété dans les épisodes (enfant, je détestais quand une série animée se conformait toujours à une seule trame narrative…). Et puis, malgré tout, le ton était un poil plus sérieux que dans le Défi des Go-Bots, autre DA mettant en scène des métalleux transformistes, qui passait sur TF1.
Parmi les épisodes m’ayant marqué, il y avait « City of Steel », où Optimus se faisait démonter (littéralement) par les Decepticons qui recyclaient les différentes parties de son corps contre les Autobots. Optimus passait l’épisode à recouvrer progressivement son intégrité physique avant un final en haut de l’Empire State Building face au géant Devastator faisant un gros clin d’œil à King Kong… Dans un autre épisode, Megatron défiait Optimus en duel pour mettre fin à la guerre mais trichait en récupérant temporairement les pouvoirs de tous les decepticons pour s’assurer le victoire.
En plus d’être très puissant, le leader decepticons était très retors. Dans un autre épisode, il manipulait les Dinobots, à l’intelligence limitée, pour les retourner contre les Autobots. De temps à autre, un message écologiste revenait, comme dans « The Golden Lagoon », épisode où les Transformers découvrent un nouvel élément, l’électrum, dans un environnement idyllique qui se retrouvera entièrement détruit par leur lutte pour s’emparer de la précieuse ressource.
Un robot-avion amoureux qui fait un tour de manège : c’est pas juste impossible ? Oui mais, enfant, ça m’était égal (comme dirait Fabienne).
D’autres épisodes étaient plus tournés vers l’humour, voire la romance, comme « The Girl Who Loved Powerglide », où un autobot pouvant se changer en avion tentait de protéger une jeune riche héritière humaine, Astoria Carlton-Ritz ( !) de tentatives de kidnapping par les decepticons, souhaitant faire main basse sur les travaux scientifiques du défunt père d’Astoria. Malgré le nom de la jeune fille, le robot ne la mènera pas à l’autel…
Pour être honnête, je n’ai plus regardé un épisode de Transformers depuis plus d’une décennie. Et lors de mes dernières tentatives, l’animation m’avait paru très poussive et les scénarios, cousus de fil blanc. J’écris ces quelques résumés de mémoire, avec un petit coup de main d’Internet mais sans chercher à me replonger dans cette œuvre qui a bercé mon enfance. Il est souvent doux d’évoquer le passé mais plus décevant de chercher à le revivre…
Decepticon-tinuité(s)
Au fil de la série, l’interférence de l’industrie du jouet avec l’intrigue de la série se fit de plus en plus flagrante. Pour vendre de nouveaux modèles, il fallait justifier, plus ou moins adroitement, leur apparition dans la série. Au début de la série, les Transformers présents sur Terre étaient tous des rescapés du crash survenu il y a des millions d’années. Mais après avoir fait connaissance avec eux au fil des premiers épisodes, voilà-t-y-pas qu’il en apparaissait d’autres ! A croire qu’ils se reproduisaient en douce ! En interview, les créateurs de la série avouent qu’ils écrivaient l’histoire au fur et à mesure, sans véritable coordination qui plus est.
A contrario, certains jouets commercialisés sous la marque Transformers n’apparaissaient pas ! C’est le cas de Jetfire, dans sa forme de chasseur Varitech, initialement produit par la firme Takatoku mais dont les droits avaient été récupérés par Bandai au détriment d’Hasbro. Du coup, dans le dessin animé, son design avait été grandement revu…
Et ce n’était pas le seul écart entre le (maigre) rédactionnel fourni sur les boîtes des personnages et l’histoire déroulée sur petit écran. Sans compter qu’en parallèle, Marvel publiait un comics avec une continuité encore différente. Avec des récits additionnels publiés par Marvel UK. Et un crossover avec les GI Joes ! N’en jetez plus.
Je possède les 3 revues VF sorties à l’époque en kiosque et, sincèrement, c’est un peu un ratage industriel, avec des dessins moches, inconsistants et un scénar faiblard, plombé par un remontage des épisodes originaux, qui plus est. Le meilleur était sans doute, une fois la revue refermée, la lecture de la fiche de personnage présente au dos ! Pour compléter le mag, l’éditeur avait cru bon de rajouter un épisode de GI Joe (en démarrant en plein milieu de la série) et… Dakota North !!!! C’est ainsi que je faisais la connaissance de la détective privée des années avant sa ré-apparition dans le Daredevil de Brubaker !
The Movie and The Movies
Ma culture en matière de Transformers s’arrête avec le long métrage animé Transformers : The Movie (sorti en salle en VF en 1986 sous le titre : La guerre des robots). L’intrigue faisait un saut dans le futur (2005 !), avec un Optimus Prime s’entretuant avec Megatron, pour passer le flambeau (en l’occurrence, la « Matrice ») à Hot Rod, rebaptisé Rodimus Prime. Megatron fut de son côté reconstruit en Galvatron. Tout ça avec la menace d’Unicron, une sorte de Galactus local. Je ne l’ai pas vu à sa sortie mais bien plus tard, sur ordi. Il marque la fin d’une ère puisqu’en plus d’Optimus, bon nombre d’Autobots meurent (Ironhide, Prowl, Ratchet…) dans une hécatombe préparant le terrain aux nouveaux modèles de jouets à vendre.
Je n’ai que très peu suivi la saison suivante, mettant en scène l’inexpérimenté Rodimus (au charisme d’huitre) avec de nouveaux robots gimmicks (les Headmasters, les Targetmasters, dont les têtes ou armes pouvaient aussi se transformer) face aux manigances de Galvatron et des Quintessons (des grosses têtes moches et flottantes). Je n’ai jamais jeté de coups d’oeils sur les divers reboots qui ont suivi, pas plus que je ne me suis plongé dans les pages des comics, dont la licence est passé d’éditeur en éditeur, de Marvel à Dreamwave puis IDW.
En revanche, je dois avouer avoir eu la faiblesse de regarder distraitement plusieurs films de Michael Bay. Je retiens quelques fulgurances (les Bots utilisant leur autoradio pour communiquer dans le premier film) mais aussi des tas de détails horripilants (ben voyons, toute la science humaine viendrait des Transformers) et des trous énormes dans le script. Mais c’est distrayant. Sans plus. Une sorte de crossover déguisé entre Hasbro et Mattel (ben, oui, y’a toujours une poupée Barbie pour se pendre au bras du héros humain).
Robot-collection
J’ai compté jusqu’à une petite dizaine de Transformers dans ma chambre d’enfant. Plus d’autobots que de decepticons, ce qui posait problème dans les mises en scène mais avec mon pote David, on s’arrangeait pour mixer le tout avec d’autres jouets qui nous tombaient sous la main. Habitant dans une très petite ville avec un seul magasin de jouets, je n’avais pas un approvisionnement énorme et les Transformers ne m’étaient offerts qu’à Noël ou pour mon anniversaire. Le challenge était d’apprendre à transformer plus vite possible son robot, sans avoir besoin de se référer à la notice qui détaillait le processus étape par étape, comme pour les legos (ironie du sort, des années plus tard, ce serait à mon tour de rédiger des procédures et modes opératoires, dans des domaines beaucoup moins fun). En général, plus le robot était grand, plus la transformation était complexe (et la note salée pour les parents…)
Vers mes 9-10 ans, âge où l’optimisme prime, c’est le leader autobot que je déballais, les mains tremblantes. Avec toute la puissance iconique du personnage et la très bonne qualité de conception et de fabrication, ce jouet reste un souvenir marquant de ma jeunesse ludique. Le mode véhicule tenait très bien la route ; la remorque pouvant se convertir en Quartier Général mobile. La seule relative déception était le mode robot, moins impressionnant et flashy que celui du dessin animé.
Vers la même période, je collectionnais les autocollants Panini et, signe de mon attachement pour la série, c’est le seul album qui fut complété… Le rédactionnel était sympa, racontant une sélection d’épisodes du début de la série, entrecoupés de fiches sur les personnages. C’est dans ces pages que je lus pour la première fois les mots « pernicieux » (désignant Megatron, of course) et « inéluctable » (et oui, toujours cette étrange manie de dénicher la culture dans des recoins inattendus pour m’en servir de caution auprès de mon pater austère )
Comme bien d’autres petits garçons croyant avoir grandi (j’avais quand même atteint la vingtaine, oulala !), je me suis séparé de toute ma collection, léguée à un neveu. Mais des années plus tard, profitant de la ressortie des Transformers de la Génération 1 dans des formats redesignés, plus fidèles au dessin animé mais pourtant toujours transformables (une vraie prouesse de conception, à mon sens), je fis quand même l’acquisition d’un robot, un seul, qui trône encore sur une de mes étagères malgré son encombrement conséquent et mon relatif détachement de toute la franchise. Il partage l’espace avec d’autres figurines, dont bon nombre ne sont pas de série mais customisées , réutilisant parfois des éléments inattendus du quotidien (opercule de bouteille d’huile, bouchon de champagne, carte de crédit). Rien de surprenant au final : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. »
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La BO du jour
On a tous dans le cœur un robot à transformer
Un jouet moche et bancal qu’on a longtemps délaissé
On a tous dans le cœur un morceau de ferraille usé
Un semi-remorque de rêve pour faire le cake au goûter
Et l’robot s’transformait (bis)
En truck qui me colle encore au corps et au cœur !
https://www.youtube.com/watch?v=Bdz1oWtYU-0
Voulzy pas Voilà…
Chouette article.
En plus, j’aime lire les noms des doubleurs, je ne suis pas la seule qui s’intéresse à ça, merci d’agrandir ma culture (je suis plus voix des années 90). Je connais maintenant le nom du doubleur d’Ikki 🙂
Bon, je n’ai jamais regardé Transformers, je l’avoue, je lui préférais son concurrent direct, Gobots, pour une raison totalement saugrenue : son générique, chanté par Bernard Minet ! J’avais fait acheté le 45 tours à mes parents… Je l’adore toujours autant, nostalgie oblige…
Sinon, JP, je suis épatée par tant de souvenirs précis. Je comprends tout à fait l’idée de ne pas revoir un si vieil animé, mais de là à pouvoir faire un article sans te replonger dedans, chapeau.
Et merci pour la « fin ». Qu’est-ce que c’est agaçant de voir qu’on sacrifie les héros pour vendre de nouveaux jouets…
Concernant justement le concept de faire des dessins animés pour vendre des jouets, il y en a eu beaucoup, au final. Tous inregardables par des adultes, mais qui font le job auprès des enfants…
J’avoue que j’étais jalouse de tous ces jouets qui se transformaient. Les armures des Chevaliers du Zodiaque en premier lieu. Ce passage de l’animal à l’armure me fascinait, je me demandais toujours comment c’était possible.
J’avais un petit avion transformable (peut-être issu de Gobots ? Je ne me rappelais même pas que le héros était un avion…) avec lequel j’ai beaucoup joué, mais niveau transformation c’était très léger…
Après recherche rapide sur le net, il s’avère effectivement que c’était un Gobot 🙂
Mais franchement, c’était pas spectaculaire, tu repliais juste la tête, les bras et tu accrochais les jambes… mais bon, j’y ai passé des heures et je l’adorais… souvenirs, souvenirs… Je me demande bien ce qu’il est devenu…
En tout cas, merci pour cette madeleine indirecte, JP 🙂
On parlera bientôt de ces transformations d’Actarus et des chevaliers.
Bel article nostalgique. Je leur préférais les Gobots aux transformations plus simples même si le D.A était franchement moche. J’ai toute une collec de ces figurines dont les apparences étaient franchement calquées sur celles des Transformers.
Horreur, des fans de Gobots qui répondent sur mon article Transformers !!! 😉
Déjà que je trouve que le dessin et l’animation des Transformers ont vieilli, alors les Gobots… c’était déjà vieux au moment de sa sortie…
Et préférer ce DA parce que le générique était chanté par Minet ??? Qui l’eut cru ?
Toutefois, franchement, je trouve qu’à partir de l’ère Minet et Club Do, les génériques ont des paroles de plus en plus bof. Genre les deux génériques de Bioman, deux sacrées purges…
Les paroles me semblent plates, avec des rimes téléphonées (surprenant de la part de Bernard Minet, pas du genre à se jeter « allo », car dans l’eau, Minet râle…)
Le générique des TF était en anglais et ça lui conférait un petit côté ésotérique pour le jeune JP.
Quand à la Revanche des Gobots, je me souviens que ça passait le mercredi matin, quand j’avais école, et du coup, je ne pouvais quasiment jamais le voir, sauf pendant les vacances scolaires ou quelques fois quand j’étais malade…
A l’époque, le peu que j’en avais vu m’avait bien plu, sans pour autant me pousser à le dénicher absolument plus tard…