Custom Action Figures
TEAMUP: STEPHANE MAILLARD PERETTI & JP NGUYEN
Voici un article un peu atypique, consacré à la customisation d’action figures !
Non, non, ne fuyez pas ! Vous verrez vite le lien avec les super-héros dont on cause souvent sur Bruce Lit et, plus largement, avec la culture geek voire la création artistique…
Et pour traiter le sujet, voici donc une interview de JP Nguyen par Stéphane Maillard Peretti. Non, ce n’est pas de l’auto-célébration mais le blog compte son lot d’artistes et pourquoi ne pas leur offrir de tribune ? hein, pourquoi ? Tous les customs de JP sont consultables ici.
(JP tient à préciser qu’il n’utilise aucune allumette dans ses maquettes et qu’il est déjà pris pour dîner tous les mercredi soir…)
Mr Nguyen, bonjour ! J’ai rêvé d’une « action figure » de Thor, avec son armure viking, à la Walter Simonson… Et tu l’as créée! Est-ce que tu accomplis ce boulot souvent?
Je réalise des customs de figurines articulées depuis environ cinq ans. En général, c’est pour ma collection personnelle, qui compte environ 150 figurines, dont plus de la moitié en customs. Mais le blog m’a mis en contact avec d’autres passionnés de comics et, quand je trouve qu’un personnage est dans mes cordes et que je peux faire plaisir, pour un anniversaire ou une fête, j’offre un custom. C’est un cadeau original et, quelque part, unique, comme un dessin…
Comment t’es venue cette passion, et avec quel personnage as-tu débuté?
Un peu comme pour les comics, Daredevil a une grande part de responsabilité dans cette passion. C’est la première figurine que j’ai achetée il y a 5 ans et je la trouvais si bien faite que j’ai vite élargi ma collection. Mais progressivement, je réalisais que toutes les figurines n’avaient pas le même niveau de finition ou d’articulation, que les costumes choisis n’étaient pas mes préférés, que certains détails ne correspondaient pas à l’idée que je me faisais du personnage… Et tout simplement, certaines figurines ne seraient certainement jamais fabriquées car correspondant à des personnages obscurs ou des costumes oubliés.
En fait, mon tout premier custom est une figurine-cadeau d’une chaîne de fast food que je ne nommerai pas, un Flash que j’ai transformé en Daredevil. Mais c’était un personnage dans le style animated de Bruce Timm, et la figurine fait environ 20 cm . Depuis, je travaille majoritairement à plus petite échelle, sur des figurines de 4 pouces , soit une dizaine de centimètres. Ma première figurine à cette échelle était Adam Warlock, dans son costume classique des années 70… Ce n’était d’ailleurs pas une franche réussite et je l’ai refaite un an après, quand j’étais devenu plus aguerri…
Quels instruments et matériaux utilises-tu pour sculpter et peindre?
Puisqu’on aborde la technique, avant la sculpture et la peinture, il y a une étape-clé : le désassemblage. C’est quasiment incontournable pour réaliser un custom.
Cela peut être un démontage partiel : changement de tête (« headswap »), de mains etc. ou un démantèlement total. Dans certains cas, la simple substitution de parties suffit à faire le custom (dans le jargon, c’est du « kitbashing »).
L’intérêt des « action figures » par rapport aux figurines métalliques, c’est qu’on peut leur faire prendre la pose. Mais cet atout est aussi une contrainte dans la customisation, car il faut que les articulations soient compatibles entre deux modèles pour que la greffe soit possible. Et les articulations compliquent aussi l’application de la peinture.
Pour peindre correctement une figurine, il est recommandé de la démonter le plus possible, pour pouvoir couvrir toutes les surfaces et éviter que certaines articulations se retrouvent collées par la peinture. Il est aussi parfois nécessaire de limer ou de réduire certaines parties pour limiter les frottements de l’articulation afin que la peinture reste en place.
J’utilise une panoplie de cutters de précision ainsi qu’une Dremel (outil polyvalent pour percer, poncer, disquer…).
Un autre accessoire indispensable est… le sèche-cheveux ! Il permet de chauffer le plastique pour l’assouplir et permettre le démontage/remontage des articulations.
Pour la couleur, c’est principalement de la peinture acrylique de marque Revell, ainsi que d’autres peintures qu’on trouve en magasin de loisirs créatifs, pour des teintes spécifiques comme la couleur dorée. J’ai également quelques feutres Posca. Les pinceaux n’ont rien de spécial à part leur taille, adaptée à l’échelle des figurines (3/0 pour le plus petit).
Pour la sculpture, c’est le domaine dans lequel j’expérimente le plus. Mes matériaux usuels sont la pâte FIMO soft et la Milliput.
La FIMO se cuit au four à 110 degrés pendant une vingtaine de minute. La prise est donc assez rapide mais il plus dur d’obtenir des détails et elle peut être assez friable. De plus, elle gonfle légèrement à la cuisson, pouvant causer des effets de bord imprévus.
La Milliput est une résine expoxy obtenue en mélangeant deux composants différents (comme pour les pâtes durcissantes de bricolage). Elle sèche en 4 heures et permet de sculpter plus fin, mais impose aussi d’être plus patient.
J’utilise aussi la « Hot-Glue », la colle thermofusible qui s’applique avec un pistolet. C’est pas mal pour sculpter les « effets » de feu, de glace ou d’énergie. Ou aussi pour fabriquer des holsters, des étuis, voire des lames, car, une fois refroidie, la matière conserve une certaine souplesse. En revanche, la Hot Glue reste thermosensible et il faut prendre garde de ne pas re-chauffer un élément déjà sculpté.
Il m’est arrivé d’utiliser d’autres matériaux comme le liège, les cartes bancaires, les bouchons de plastique, le papier maché…
Il m’est arrivé de voir des figurines -chez Marvel, notamment- fabuleusement mal sculptées, très loin de l’esprit du personnage d’origine… Est-ce que certaines te donnent vraiment une envie urgente de leur faire un lifting ,et lesquelles?
Oui, il y a parfois des sculptures assez peu heureuses où on se demande comment les responsables ont pu valider le modèle… Par exemple, dans la ligne Marvel Superhero Showdown, de Toybiz, la femme invisible avait hérité d’un large sourire qui confinait au grotesque. Un des premiers Punisher dont j’avais fait l’acquisition avait une main gauche énorme et quasiment impropre à toute préhension.
Mais les plus gros loupés sont pour moi des choix de designs : la dernière figurine de Shanna avait une mèche lui recouvrant la moitié gauche du visage et du coup, seul l’œil droit était peint ! La première figurine Iron Fist de la ligne Marvel Universe avait donné deux mains ouvertes au personnage (y’a pourtant « Fist » dans le nom du perso…)
Quels sont les customs que tu voudrais créer et peaufiner au point de faire pâlir de jalousie les sculpteurs de chez Mc Farlane Toys?
La sculpture n’est honnêtement pas mon point fort et je ne l’utilise qu’en cas de nécessité, quand aucune autre partie ne peut être prélevée sur une figurine en ma possession (au passage, la réserve de « donneurs » chez un customiseur ça s’appelle « the fodder bin »).
Mon gros projet le plus récent était de réaliser le couple Skurge-Enchantress. Ca m’a pris pas mal de temps… Maintenant, je planche sur un Crâne Rouge et un Wolverine.
Pour moi, le plaisir de finir un custom ne réside pas dans la finesse de la sculpture, mais dans la ressemblance avec le modèle que j’avais en tête et la satisfaction d’ajouter une pièce unique dans ma collection, pour un personnage qui n’aurait sinon jamais été fabriqué, ou pas comme j’aurais voulu…
Si je me hasarde à faire le psy, je pense que c’est un syndrome fétichiste de vieux fan, ex-gosse des années 80 et accro de la continuité Marvel. J’ai développé un attachement irrationnel pour certaines versions des personnages et la customisation permet de matérialiser ces persos, qui ont depuis longtemps disparu des histoires courantes et qu’on ne retrouve sinon que dans les pages des vieux illustrés.
Un custom dont tu es particulièrement fier?
J’aime bien trouver une nouvelle « recette », jamais utilisée auparavant pour tel ou tel perso. J’avais ainsi été le premier à poster un Wonder Man dans sa version vintage, avec sa veste de safari rouge… J’aime aussi faire des personnages un peu plus confidentiels que les inévitables Batman, Iron Man, Captain America et consorts. Ma deuxième version d’Adam Warlock m’a permis de valider mes progrès dans ce hobby, entre les finitions très grossières de ma première tentative et une ressemblance bien meilleure pour mon second essai. J’ai fait quelques persos DC, moins que pour Marvel, mais je crois que, paradoxalement, ils sont plus réussis. Superman, Lobo, Black Mask et toute la galerie des vilains de Batman ont eu des retours très positifs sur figurerealm , le site sur lequel je poste mes customs. Et sinon, j’aime tous mes customs de Daredevil, car à chaque fois que je travaille sur le personnage, j’y mets tout mon petit cœur…
Des personnages que tu n’aborderais pas, même avec tout le temps du monde?
A part les figurines offertes ponctuellement, la plupart des customs viennent orner mes étagères, aux côtés de ma collection de comicbooks. Alors forcément, tous les personnages non-raccord, au look particulièrement bizarre ou dont l’exposition ne me semble pas très esthétique ne m’intéressent pas. Par exemple, l’homme aux échasses, même s’il fait un peu partie de la mythologie de DD, ne fait pas partie de ma to-do-list.
Que favorise-tu? Les nombreuses articulations ou la sculpture du sujet? Plus Marvel Legends ou Mc Farlane Toys?
Comme dit précédemment, la sculpture n’est qu’un moyen de parvenir à obtenir une certaine ressemblance avec le design souhaité. Je ne me focalise pas non plus sur le nombre d’articulations mais sur celles permettant d’obtenir les poses les plus sympas par rapport au personnage. Pour Nightcrawler, par exemple, j’avais choisi des jambes lui permettant de s’accroupir comme dans les comics, ainsi qu’une queue flexible lui permettant de tenir une épée…
Je ne suis ni Marvel Legends ni McFarlane Toys, étant donné que je travaille à l’échelle 4 pouces , communément désignée chez les customiseurs par « Marvel Universe » (malgré de nombreux renommages dus au marketing Hasbro)
Nous allons maintenant passer aux questions des Bruce-lecteurs, qui ont souhaité conservé l’anonymat mais que vous reconnaîtrez peut-être… On commence par Monsieur P, de l’Ile de France : « Tu ne customises pas de décors, est-ce par pure paresse ? »
Les décors de figurine, on appelle ça des dioramas, et pour des raisons de place, de temps et de matériel, je ne m’y suis encore jamais essayé (excepté un petit iceberg pour le Iceman de Bruce).
Mais j’adorerais fabriquer un portail de l’asile d’Arkham ou un décor de ruelle sombre, avec affiche à moitié arrachée, poubelle renversée et vieux journaux traînant à terre… Ce n’est pas de la pure paresse mais un ensemble de techniques à découvrir, pratiquer et perfectionner. Et pour cela, il faut du temps…
Monsieur T, du Sud de la France : « Dans la customisation, comment abordes-tu le rapport entre le fond et la forme ainsi le respect de la continuité ? »
La forme, c’est essentiellement par la sculpture qu’on peut la façonner… Vu mes talents limités en sculpture, j’optimise un maximum la réutilisation de parties existantes.
Pour le fond, je crois que fabriquer des customs reflète hélas mon état d’esprit de « vieux lecteur de Marvel », qui idéalise un peu les personnages dans leurs incarnations des années 80-90, qui ne les retrouve plus dans les pages des comics actuels et qui recrée dans le plastique ce qu’il ne retrouve plus dans le papier…
Pour la continuité, j’avoue, il m’arrive d’exposer des équipes avec les costumes de certains personnages ne concordant pas avec une seule période éditoriale.
Monsieur A, du Forez : « En matière de figurines personnalisées, est-ce que l’existence précède l’essence ? »
Qui aurait cru que Sartre puisse s’appliquer aux action figures ? Ca fait un peu le lien avec la question précédente : j’ai souvent en tête « ma » version d’un personnage ou d’un custom, mais pour la matérialiser, je me base sur des morceaux de figurines existantes. Sans figurines de base, pas de custom possible. Mais sans inspiration, sans vision d’un personnage, ce n’est pas trop possible non plus…
Monsieur X, de l’Ile de France : « Fais-tu les persos de jeu vidéo ? »
J’ai déjà utilisé un perso de Street Fighter, Blanka, pour faire un Fauve des X-Men. Et j’ai offert une Lara Croft à un pote.
Monsieur M, du Nord Est : « As-tu déjà customisé des personnages de BD franco-belge ? »
Non, mais je n’exclus pas de le faire un jour…
Monsieur F, de Paris : « As-tu déjà essayé de réaliser des videos en stop-motion avec tes figurines ? »
C’est beaucoup, beaucoup de boulot, même si les résultats peuvent être très marrants. Je laisse pour l’instant cela à des gens plus passionnés et doués que moi.
Dans la mise en scène de mes figurines, je me limite à insérer quelques phylactères humoristiques sur quelques images…
Madame S, de Bourgogne : « La représentation de la femme en action figure n’est-elle encore pas plus caricaturale que dans les comics ? »
C’est sûr que les mensurations des personnages féminins sont bien dans le canon super-héroïque, plutôt version années 90 « gros bras et wonderbra ». Les personnages féminins sont souvent plus difficiles à réussir car le nombre de figurines de base parmi lesquelles piocher des ingrédients est plus réduit. Du coup, inventer une recette originale est encore plus satisfaisant, comme pour mon custom de Talia Al Ghul, dans un costume peu connu sexy tout en restant classe.
Monsieur M, de Paris : « Un custom de Trotro, ce serait envisageable ? »
Je risque de manquer de pièces détachées adéquates…
Et finalement monsieur T, également de la région parisienne : « Pourquoi fais-tu ça ? Vendras-tu un jour tes customs sur Amazon ou Ebay ? »
Je vais paraphraser Frank Miller dans une de ses intros pour DKR : quand je termine une figurine, je fais en quelque sorte un cadeau au gamin de 10 ans que j’ai été, qui rêvait de jouets inaccessibles (non fabriqués ou trop chers). Ce hobby est bien sûr rendu possible par la marchandisation dont les héros de mon enfance font l’objet, mais ça n’est finalement pas nouveau. Nombre de dessins animés des années 80 avaient pour but de vendre des jouets. Et la première Secret War de Marvel doit son existence à la ligne de figurines Mattel. Mais la customisation a un côté punk, « do it yourself », et marque aussi le refus de se contenter de ce que produisent les grandes marques de jouets. A partir d’un produit de série, on obtient un objet unique et personnalisé. Par delà les odeurs de plastique, de peinture et de colle super-glue, ce loisir me permet surtout de retrouver un certain parfum d’enfance…
Certains customiseurs revendent effectivement leurs créations sur des sites d’enchères en ligne. Mais cela ne correspond pas trop à mon approche de ce hobby. Je préfère que cela reste un plaisir.
Au fait, on peut rajouter des runes qui fonctionnent vraiment sur le Thor Battle Armor que tu m’a créé? genre qui allument Mjolnir?
Hmm, c’est un peu compliqué… J’ai pas les coordonnées d’Odin pour lui demander de placer l’enchantement. Et puis il pourrait y avoir des conséquences pratiques, imagine que tu ne puisses plus soulever Mjolnir par la suite !
Comme pour nombre de collectionneur de comics ou mangas, il est clair que nous aimons les « goodies » comme on a appris à les appeler… Mais vue la piètre qualité de certains, le prix fort élevés d’autres, et le fait qu’en France, nous ne sommes pas les mieux achalandés, qu’aurais-tu à dire à ces firmes créatrices, en revenant sur les points de vue abordés plus hauts? (qualité/prix/sculpture/choix de persos/articulations)
Je ne me sens pas vraiment comme le mieux placé pour interpeler les fabricants de jouets ou de produits dérivés. D’une part, je ne crois pas que la France soit leur marché prioritaire, d’autre part, ils se fichent sans doute pas mal de l’avis d’un fan qui fait du bricolage dans son coin.
Depuis quelques années, Hasbro a diminué la qualité de ses figurines en réduisant le nombre d’articulations et d’accessoires dans la ligne 4 pouces (celle que je collectionne) pour se concentrer sur la ligne Marvel Legends ( 6 pouces ), sans doute plus lucrative (tant qu’à faire travailler des petites mains pour assembler et peindre des figurines, autant vendre de plus gros bouts de plastique, et plus cher).
En fait, je ne suis pas toujours à l’aise avec ma passion pour les customs. Encore plus que pour les comics, j’ai parfois l’impression d’être un gamin attardé. Toutefois, je pense qu’au fil du temps, j’ai cultivé, sinon un certain talent, au moins des compétences qui m’ont permis de conjuguer ma passion pour les comics et pour l’art. Et si j’ai un message, ce serait donc plutôt pour les lecteurs (s’ils sont toujours là) :
Ne vous contentez pas de ce que les grosses compagnies vous balancent. Légalement, les personnages leur appartiennent mais fondamentalement, ils font partie de l’imaginaire collectif. Dessinez-les, critiquez-les, customisez-les, réinventez-les ! Comics have the power, you have the power ! (dédicace Sonia 😉 )
@tous : merci pour vos compliments, vous avez fait de ce 14 juillet mon petit jour de gloire 😉
Je tiens quand même à préciser que je ne fais pas de fausse modestie dans l’article : quand je vois le niveau de certains artistes sur figurerealm, je me considère vraiment comme un humble amateur, avec à présent suffisamment d’expérience pour ne pas être totalement ridicule.
@Bruce : le temps de customisation est fractionnable (un quart d’heure pour démonter des jambes, 5 minutes pour passer une couche de peinture sur certaines parties etc.) Après, ce n’est pas extensible et ça dépend du reste. Cette année, j’ai plus fait de customs que l’an dernier, résultat direct : j’ai moins écrit pour le blog…
@Cyrille : je ne me suis jamais lancé dans les figurines de JdR. Elles sont encore plus petites. Mon beau-frère en fait, il joue à Warhammer et ses dérivés. Et sinon, dans le même genre, mon épouse possède une belle collection (mais qui dort actuellement dans des cartons)
@Matt (prp à une question de ce matin) : j’ai choisi l’échelle 4 pouces car elle prenait moins de place et pouvait éventuellement permettre de mixer plus d’univers (Star Wars, Gi Joe, Indiana Jones…) Et sinon, on habite pas loin l’un de l’autre, je suis dans le Rhône, mais assez proche du Nord Isère 😉
PS : merci aux Bruce-lecteurs de ne pas avoir pris ombrage des petits emprunts d’identité pour poser des questions. Avec Stéphane, on trouvait que ça redonnait un peu de fun à une interview assez technique, surtout au début…
Ah ok t’es pas loin. Et tu trouves tes figurines dans le coin ? Dans des intermarché, Leclerc, etc ? Eh ben…on ne doit pas aller dans les mêmes^^ J’en ai vu à Cultura à Givors mais ça reste limité le choix. Tout dépend après forcément de la ligne de figurines qu’on cherche. Des Marvel Legends, j’en ai jamais vu sauf à Paris. Par contre j’ai vu quelques Marvel Select (genre un Wolverine, un Cap…les persos les plus répandus en général) à Cultura.
Sinon c’était bien agréable comme article, oui. Espérons que tu en auras d’autres comme ça de temps en temps. Genre des petites reviews, des customs dont tu es fier que tu montrerais, je sais pas…
Oui Matt, j’en ai trouvé dans les enseignes sus-mentionnées…
Pour les prochaines apparitions de figurines sur le blog, ce sera dans « Figure Replay »… Les numéros 2 et 3 sont dans la boîte, et je travaille sur le 4… Une occasion pour mettre en scène des figurines, dont mes customs…
C’était super rigolo ! 😉
(la participation des bruce-lecteurs)
Meuh si j’ai répondu ! Même si ça ne s’adressait pas à moi^^
N’empêche que je sais toujours pas ce que tu lui trouves de si sexy.
Un élément de réponse pour Talia : elle a réussi à séduire Batman, quand même !
Batman, le badass des super-héros !
Et donc, elle a réussi à se pieuter dans le… Bruce Lit ! 😉
Oh punaise…mais tu n’arrêtes jamais ^^
Talia al Ghul pour choisir ses hommes (bon ok…je ne suis pas de ton niveau)
Ouais mais Bruce n’aime pas Batman apparemment. Donc argument sur la « badassness » non recevable.
Ah ah ! Et puis, sa personnalité est attrayante. En tout cas de ce que j’en connais dans le long run de Batman par Morrison.